L'homme a perdu l'humanité,il est tel l'oiseau sans ailes privés de liberté dans le désert du néant.....
Sur ces paroles que l'homme s'avance cherchant celui que l'on considère comme le Poing de Dieu,il avance mais trouve t'il son chemin ? C'est la question qui se pose.Finalement il trouve le palais de l'ange,il avance mais ne trouve personne,alors il attend,car ilo n'a que celà à faire....

L'Archange gravissait les marches de son palais, accompagné d'Elendir lorsqu'il vit cet homme devant les portes.

"Bon sang, qui a autorisé cet homme à se balader dans nos rues, lorsque nous préparons la guerre! Qu'on m'appelle l'officier de garde, il va avoir des comptes à me rendre.

Viens, Elendir, allons voir ce que veut se malandrin."

L'Archange se dirigea d'un pas précipité vers l'humain. Il était en rogne, sur ce coup...un tête risquait de voler.

"Que fais-tu ici, toi, qui n'est pas de ma race ni de mon camp?"

Slike était parti chasser son repas. Èlendir quand à lui, s'était retrouvé seul avec Oromë, dans cette grande cité, où les anges s'activaient à préparer la guerre. Quoi qu'il pu se passer, rien ni personne ne pourrait se mettre en travers de leur route...

Èlendir admirait sans cacher son admiration, les trophés de l'archange ; tête de ses ennemis et des races abattues... Oromë n'était plus un simple immortel doué d'une grande puissance, mais bien plus grand que certains Dieux, et Èlendir allait en faire parti...

*Quels jouissance !*

Puis ensemble, ils gravirent les marches du palais, futur quartiers généraux de l'alchimiste. Quand soudain ils virent cet homme devant les portes.

Citation :

Bon sang, qui a autorisé cet homme à se balader dans nos rues, lorsque nous préparons la guerre! Qu'on m'appelle l'officier de garde, il va avoir des comptes à me rendre !

Citation :

Viens, Èlendir, allons voir ce que veut ce malandrin.

Que voulait cette chose débridée ? Que voulait cet homme si faible à ces instants ?
Èlendir n'avait pas vraiment envie de savoir ce qui se tramait sous sa peau, mais à cette heure une envie meurtrière l'attrapa par la gorge. Si rien n'était fait de son côté, quelqu'un pourrait bien y laisser sa vie...

Citation :

Que fais-tu ici, toi, qui n'est pas de ma race ni de mon camp?"

"Mon nom te t'apportera rien,appele moi Nemo(personne en latin).
je suis venu te voir pour paticiper à cette guerre,j'ai un ami qui vivait dans une contrée détruite par les forces du mal du nom d'Aïrsalos,il m'a dit de venir te rejoindre car la guerre est imminente.Je vois en toi une lumière puissante,capable de balayer toutes formes de ténèbres,et mon devoir est de rejondre tout ceux qui se battent pour la lumière.
Veux tu de moi dans ton équipe ?
Sur cette question un silence profond régnait laissant place à la reflexion.....

"Dans mon équipe?"

L'Archange explosa de rire.

"Mon équipe? Tu veux parler de mon armée, humain? J'ai plusieurs milliers d'anges, dont la plupart forme l'élite des anges. ALors qu'est ce qui fait de toi un atout si puissant pour que tu m'intéresse? Et surtout, qu'est ce que cela va me coûter?"

L'Archange ens on fond intérieur jubilait : même au moment où il s'apprétait à écraser tout ce qu'il y a de bon dans ce monde par pure ambition personelle, tout le monde continuait à la prendre pour le champion du Bien absolu...Risible, vraiment.

Citation :

Et surtout, qu'est ce que cela va me coûter?"

Rien du tout sauf un service as tu entendu parler de l'ichôr de résurrection ? j'en ai besoin,et pour te rembourser je suis à ton service,je ne suis peut être ps un ange mais je posséde la force de Uriel l'ange gardien de la lumière(cf Aïrsalos),alors veux tu bien de moi ?

Èlendir fut saisi d'une rage que l'on éprouve face aux incompétents. Il ne pouvait plus résister à l'envie de serrer le cou de ce jeune malautrus.

D'un geste rapide et puissant, Èlendir le frappa au ventre, avant de l'empoigner par la gorge.

- Crois-tu que c'est une crèche ici ? Crois-tu seulement qu'en débarquant de la sorte tu t'attisera les grâces d'Oromë ?
- Tu n'est qu'une bêtise de la nature et rien ne me ferais plus plaisir que de te voir sous terre !

Èlendir serra à présent des deux mains, puis le souleva en l'air tel un insecte. Il était là, pitoyablement construit dans son être...

- Et c'est avec ça que tu dis être fort ? Tu n'est même pas plus puissant qu'un soldat de la garde personnelle.
- Pense-tu seulement qu'on ai besoin de tels services ?
- Allez, vas t-en !!!

Èlendir le jetta en bas des marches. L'homme roula plusieurs fois avant de se stopper...

- Garde ! Jeter le dehors ! Et qu'il ne rentre plus jamais ici !

L'alchimiste se tourna vers son puissant ami, s'essuya les mains puis parla :

- Voilà qui est fait. Continuons, nous avons une guerre à préparer...

"Tututut...Laisse Elendir, je veux savoir tout avant d'accepter ou de refuser... L'ichôr de résurection, hein? Je possède des flasques de ce liquide rarissime. Mais qui veux-tu faire sortir des limbes, où nul vivant n'a accès, humain?"

L'Archange avait l'air fort intéressé...Les Limbes, ça pouvait être un endroit intéressant à conquérir pour empêcher les âmes des bons de rejoindre Eden, limiter le nombre des anges pour augmenter son propre pouvoir...

Citation :

Mais qui veux-tu faire sortir des limbes, où nul vivant n'a accès, humain?"

L'homme appelait Nemo se releva,"Je vois que tu es aussi violent comme me l'a décrit le mage d'Aïrsalos,Elendir,cette violence ne peut que refléter une faiblesse morale que tu cherches à masquer avec de la violence,ça ne m'étonne pas d'humains comme toi,les humains de ton espèce préfèrent réfléchir avec violence qu'avec leurs têtes,dire que ton ami Katarn te considérait comme l'un de ses plus proches amis,après ce qui s'est passé à Aïrsalos...Mais bon là n'est pas la question.
L'homme se tourna vers l'ange,
"J'ai besoin de l'ichôr pour ramener une personne qui a donné sa vie pour sauver celle d'un peuple,celui dont je parle est Katarn,il a perdu sa vie en utilisant le sort interdit de Dieu,tu devrai normalement connaître ce sort n'est-ce pas ange ? celui qui interdit qui bannit l'âme de l'utilisateur.Je suis aussi là pour accomplir une promesse que je lui ai faite:celle d'aider l'ange d'Anya,car tel est le devoir de ceux qui sont sur la protection de l'ange de lumière qu'est Uriel,ange que tu connais peut-être,c'est pourquoi que je suis là,je n'ai pas la force physique d'ange mais ma magie est je pense assez puissante.....

"Un sort interdit par Dieu, hein? C'est bien les hommes ça, vous pensez qu'un sort est interdit par Dieu parce qu'il possède un effet secondaire qui est issu de la volonté divine. Je connais vingt neuf sorts que vous qualifieriez "d'interdits" et pourtant j'en use parfois, il suffit de savoir comment s'y prendre. La bonne combinaison de sort mène au bon résultat...

Mais bref, s'il s'agit de sortir une âme des limbes, je le ferai, pour prouver que je ne suis pas en cause...je veux dire, pour prouver que Dieu n'est pas en cause...

Mais un conseil, évite de critiquer mes amis et ceux que j'ai choisi pour m'entourer, sans quoi je rappellerai bien Katarn mais pour le tuer, seulement pour t'apprendre le respect. Cela dit, ensuite, je te confierai une mission qui remboursera mes efforts pour sauver ton ami.

Mes conditions te conviennent-elles?"

Citation :

Oromë-Archange du Combat"]"Un sort interdit par Dieu, hein? C'est bien les hommes ça, vous pensez qu'un sort est interdit par Dieu

Je suis désolé de te contredire puissant ange mais ce pouvoir c'est vous qui nous l'avez confié il y a très longtemps de cela;Uriel l'ange de la lumière est venu sur terre confié ce pouvoir(cf Parchemin Aïrsalos),mais je ne suis pas là pour parler de cela,mon rang de Gardien céleste m'ordonne de me battre avec l'un des anges les plus puissants.La guerre approche,l'ennemie se regroupe de plus en plus,et j'ai besoin de retrouver Katarn,pour me battre car il détient mon pouvoir c'est pourquoi j'ai besoin que tu ouvres la porte des limbes.....

Èlendir fut retenu par Oromë mais là il n'en pouvait plus :

Citation :

La guerre approche,l'ennemie se regroupe de plus en plus,et j'ai besoin de retrouver Katarn,pour me battre car il détient mon pouvoir c'est pourquoi j'ai besoin que tu ouvres la porte des limbes.....

- Crois-tu seulement que nous sommes à ta disposition ?! Le monde n'est pas simple comme tu le crois !!!

Èlendir savait que quoi qu'il fasse, il serait bloqué par Oromë... Alors il laissa et ne prononça plus un mot.

L'Archange vraiment se demandait comment des êtres pouvaient être tellement enfermés dans leurs croyances? A croire que pour eux, ce qu'ils savaient étaient forcément la réalité...Mais leurs capacités de réflection étaient tellement handicapées par rapport à celle d'un Archange - ou même par rapport à celles de certains humains ayant poussé la réflexion à un point inhumains - qu'il était souvent ennuyant de parler avec eux.

"Par les flammes de l'Enfer, il est vrai que je me demande pourquoi je vais t'aider, car je vais le faire... Je vais ouvrir les portes, mais avant, je veux que tu t'engage à obéir à mon prochain ordre. Ce sera le seul :

Je veux que tu réunisse des mercenaires ou des fidèles, ce que tu voudras, et que tu parcours aussi vite que possible Nelendark pour récupérer tous les civils que tu pourras trouver, quelque soient leur race et leur croyance. Ce à quoi ils me servivront ne doit pas t'intéresser, mais tu le feras...sans questions."

Soit qu'il en soit ainsi j'essayerai de trouver des volontaires pour notre cause,j'espère que tu tiendras ta promesse Oromë.......

L'Archange sourit. Il ferma le poing, puis le réouvrit. Au creux de sa main naquit une lumière blanche qui print une forme ovale. Puis elle se durcit en un flacon de terre, orné de runes.

"Voici l'ichôr. Je vais aller faire le rituel, toi, vas chercher ces civils. Et tant pis s'ils ne sont pas volontaires, ils ne seront pas là pour combattre. J'ai besoin de ces civils, c'est tout."

L'Archange quitta là l'humain et alla dans une salle au plus profond de la forteresse. Il avait fait signe à Elendir de le suivre, car il se doutait que la suite des évenements l'intéresserait. La salle en question avait des murs noircis par des explosions magiques, entaillés par des coups d'épées et par endroits, on trouvait les os de quelques cadavrees, humain ou animal. Cette salle était employé par les mages angéliques pour leurs recherches les plus dangereuses...et souvent les moins sacrées. Et l'Archange allait l'utiliser pour ouvrir un portail sacré.

Citation :

"Voici l'ichôr. Je vais aller faire le rituel, toi, vas chercher ces civils. Et tant pis s'ils ne sont pas volontaires, ils ne seront pas là pour combattre. J'ai besoin de ces civils, c'est tout."

"Attend Oröme,je veux participer au rituel,peut-être ne le sais tu pas mais ceux qui détiennent les pouvoirs gardiens d'Uriel ont un lien spécial,c'est cette allumette,l'inconnu sortit un oblet sous formes d'étoiles avec un symbole religieux où était gravé des lettres dans une langue inconnu,,"Je suis obligé d'yassister mais ne t'en fais pas je trouverai de l'aide à notre cause,un mage d'Aïrsalos tient touours ses promesses surtout si c'est pour quelqu'un de ton rang.

"Soit, suis moi. Mais prie pour ton salut, ce que tu vas voir n'est pas donné à tout le monde."

La salle des expériences magiques était une salle sombre, sans ouverture sur l'extérieur lmis à part une porte de bois bardée d'acier et protégés de dizaines d'enchantements de protection. Oromë était fier de cette salle, il l'avait entouré de quelques sorts parmi les plus puissants comme une sphère de négation qui coupait l'impact du temps dans la salle et évitait que quoi que ce soit de magique ne sort si la porte n'était ouverte. Et seul le mage à l'intérieur prononçant un mot de passe magique en même temps q'un des gardes de l'extérieur pouvait ouvrir la porte.

Lorsque les deux hommes furent entrés, l'Archange la scella puis sourit. Les murs étaient couverts de symboles runiques, tellurgiques, esotériques, de cultes et rites diverses...bien peu de signes sacrés de sa religion.

L'Archange versa lentement, goutte à goutte le liquide sacré, aplliquant son doigt pour faire de majestueuses courbes et formé un cercle empli d'un noeud compliqué. Il avait choisi la version angélique du sort car il la maîtrisait mieux. Mais il aurait vraiment pouvoir dessiner celle qu'il avait créé lui-même.
Lorsqu'il eut fini, il appliqua ses deux mains sur le bord du cercle et commença à incanter. Sa voix formait comme le bruit de la mer, parfois on l'entendait fortement, parfois pas du tout.
L'Archange continuant à psalmodier se blessa de la lame de son poignard le poignet et versa le sang devant lui. Il hurla une dernière phrase dans le langage magique des anges. Le sol se mit à vibrer... L'impression fu que le sol se dressa à la verticale, mais en réalité, seuls le dessin de l'Archange s'était levé. Le noeud se brouilla en une nappe de brume rougeâtre. L'Archange sourit. Un portail vers les Limbes.

L'Archange ne garda pas longtemps son sourire : une main squelettique de très grand taille sortit du portail et l'attrapa pour l'emmener dans les limbes. Oromë n'eut pas le temps de réagir avant de se retrouver dans les limbes...

Les limbes : une vaste plaine morne, désolée par un vie ne pouvant y naître. L'herbe était brune, les arbres morts et partout, cachés dans des nappes de brumes épaisses, les âmes des perdus erraient, hurlant ler terrible sort.

L'Archange ne laissa pas le temps à son adversaire de réagir : lui plantant sa dague dans l'avant-bras, il se dégagea pour ensuite faire face, le Glaive tiré. En face de lui se dressait un géant mort-vivant, portant une couronne d'or terni. Le Roi-liche, Seigneur des Limbes...Et lorsque la voix traînante et spectrale se fit entendre, l'Archange ne put s'empêcher de frémir...

"Comment oses-tu violer mon territoire, Serviteur de Dieu.
-Regardes moi bien, sac d'os! Ne vois tu pas qui je suis? Je suis Dieu lui-même! Incarné sur Terre pour répandre sa foi!
-Je ne vois en toi qu'un fou qui se prend pour Dieu.
-Alors mieux vaudrait pour toi perdre les deux yeux que de continuer à être trompé par eux!"

L'Archange frappa avec une vélocité féroce. La lame toucha le mort vivant au niveau du visage et lui arracha les yeux et la base du nez. Le Roi Liche hurla de douleur et disparut. L'Archange laissa éclater sa rage de voir un si beau trophée lui échapper. Lorsqu'une âme passa prêt de lui implorant pitié, il la frappa et laissa son glaive boire cet âme, criant avec colère "en voilà pour ta pitié!"

Il se retourna vers le portail pour voir si les deux humains avaient franchi le portail.

Alors que l'ange montrait sa bravoure,Nemo se sentait étrange,plus il avançait plus son âme était comme appellé,cet alors qu'un squellette l'appella par un nom familier,"Toi qui est comme nous,qui a perdu son âme, que fais-tu ici ?,dit il d'une voix sinistre
"Je suis venu recupéré mon bien"
"Ton bien ? tu as tout perdu lors de la bataille d'Aïrsalos,tu as utilisé le sort banni de Uriel,toi qui est le fils de Melchior et d'Agyena,qui est même l'héritier d'Uriel,celui dont le nom veut dire Espoir en Kradan(langue disparue de Loros),Katarn"
Nemo ne repondit plus rien,il resta silencieux comme si son secret était découvert"Tu ne dis plus rien ? alors rejoins nous dans les limbes......"
Des maisn osseuses sortirent des murs et se dirigèrent vers Nemo....
"Pff,vous les morts vous parlez trop....."
"Comment ?!!"
Nemo enleva le bandeau de ses yeux,revelant deux yeux aux couleurs différentes,l'un rouge et l'autre bleu,il leva la main gauche vers le mort,enchainé au mur des limbes,des flammes blanches sortirent de ces mains..."Comme tu l'as deviné je suis bien Katarn,maintenant je te dis adieu,azara metruim zintos...."
Les lammes blanches consummèrent le squellette
"AAAAAHHH;même si je remeurs,le seigneur Zork te le fera payer!!!!"
Sur ces mots le montres disparu...."Zork....."

HRP:// Èlendir entre avant que Katarn ne se batte avec le squellette.

La salle était d'une magnifisence rare. Pendant que Oromë s'activait à ce qui semblait être une cérémonie, l'alchimiste ne pouvait s'empêcher de ressentir une certaine émotion que le lieu lui procurait...

L'archange pratiquait parfaitement la magie et cela ajouta à ça personne. Il s'avait donc tout faire ?! Mais le plus surprenant, c'était qu'un portail venait d'apparaître. Aussitôt, une main gigantesque tira Oromë pour l'emmener dans un autre monde. Èlendir ne savait pas du tout de quel monde il s'agissait, mais les paroles qu'avait prononcé Katarn peu avant, lui donnèrent quelques indications...

Èlendir tenta de retenir Oromë mais il était trop tard. Il y eu un moment d'hésitation car les limbes était un endroit de mort et l'alchimiste dédaigna plusieurs fois d'y pénétrer.

- Tu n'as plus rien à craindre ! Vas-y mon vieux !!!

Aussi maladroitement qu'un enfant, Èlendir sauta à pied joints dans le portail. Pendant la traversé, il sentit tout son corps se faire aspirer en seul point, que la douleur ne pu lui faire décrire. On tentait sûrement de lui retirer son âme...

Èlendir supporta et cogna le sol violement, roulant pour ne pas se faire trop de mal. En se relevant, il n'eut le temps d'aperçevoir le squellette disparaître sous la lame d'Oromë.

Ce monde était désertique. Même le vent avait décidé de s'enfuir, laissant son domaine aux âmes érantes... La plaine était énorme, recouverte par de l'herbe flêtris par l'ambiance des lieux.

Èlendir s'avança prêt d'Oromë puis observa :

- Dis-moi que faisons nous ici ?

"Deux choses. La première concerne l'autre, protégeons le pour qu'il retrouve son âme. La seconde te concerne..."

L'Archange se tourna vers Katarn.

"Katarn, puisque tel est ton vrai nom, sais tu où est ton âme?"

Citation :

"Katarn, puisque tel est ton vrai nom, sais tu où est ton âme?"

"Désolé de t'avoir caché la vérité,mais j'y étais contraint....;mon âme est dans le labyrinthe du Tinathasos;là où les âmes errent......."
Katarn avançait vers Oröme,et lui tendait une dague;"Prends ceci,c'est l'artefact de mon âme,utilise le pour le sortilège

cette dague contient un peu de mon sang et de mon pouvoir;si tu l'utilise l'autre partie de mon âme viendra

Alors que les trois hommes discutait d'âmes et d'artefact, des voix s'élevèrent se muant rapidement en cris et en plaintes. Une silhouette drapée d'une cape noire s'avança dans la brume. Sans aucun signe d'agressivité, elle vînt se placer à quelques pieds d'Oromë.
Des mains rouges qu'allongeaient des ongles aussi redoutables que des griffes soulevèrent la capuche qui dissimulait le visage de la personne.
De longs cheveux noirs comme le dur ébène, les yeux aussi vide que ceux d'un mort et deux cornes de démons ornant sa tête, nul doute ne pouvait se faire sur l'identité de la femme qui se tenait devant l'Archange...

- Bonjours, seigneur Oromë.

Oromë prit la dague...Quelle méthode allait-il utiliser pour joindre une âme à ce corps...surtout que celui-ci était déjà occupé par un ersatz d'âme, puisqu'il pouvait parler et penser...

Il allait se remettre en chemin quand une ombre encapuchonnée lui bloqua le chemin et découvrit son visage.
Le visage de l'Archange se fendit d'un sourire carnasier. Il n'avait pas remarquer que pas mal des créatures qui l'encerclait étaient des ennemis qu'il avait tué. Certains réclamaient vengeance, d'autres pitié pour que leur dépouille soit enterrée et qu'ils puissent rejoindre leur Paradis.

"Tiens, tiens, tiens, une vieille connaissance. Et bien, Claudia, ton Seigneur Lucifer t'aurait-il abandonner dans les brumes des limbes?

Claudia Demona claqua des doigts et sa cape s'enflamma disparaissant en fumée et en cendres qu'emportèrent le vent et la brume. Seulement habillée de bijoux d'or ornés de symboles des ténèbres et de figures squelettiques, la démone portait néanmoins une épée noire dans son fourreau accroché à sa ceinture par des chaînes elles aussi en or.

- Belzébuth m'a donné bien des pouvoirs après m'avoir punie pour mon échec, expliqua sèchement la démone avec rancœur.
Mais j'ai accès aux limbes depuis des siècles...

Claudia s'approcha d'Oromë et sans quitter ses yeux, elle sourit avec un sadisme abominable.

- Sais-tu ce que j'y oeuvre, séduisant seigneur ?

La démone tourna autour de l'Archange approchant sa bouche près des oreilles de son interlocuteur avec une sensualité provocante.

- Je torture les âme autrefois pures, celles des enfants morts sans baptêmes... Je jouis de les entendre crier, m'extasie de les voir hurler...
Car, comme toi, je n'ai pas de pitié.