Poèmes
Je me sens submergé.
Je me débats.
Mais je suis que je suis entrain de me noyer.
Je regrets d’avoir mordu à l’appâts
J’essai de courir.
Mais je ne peux fuir.

Refrain
Je tombe(x2)
Et je creuse ma tombe
Mais si j’essayer d’éviter ma fin.
Je ne peux éviter ma fin.


Plus de cesser cette vain lutte.
J’essais d’éviter la chute.
Mais tous ces espoirs sont futiles.
Tous mes coups ne sont guère utiles.
Je sais venir l’ombre.
Même si je recule.
C’est l’heure du crépuscule.

Refrain(x6)



Etendu avec toi dans la champ de fleur
J’ai cueilli ce bouquet pour toi mon coeur. :
Une jonquille parce que tu es la plus gentille.
Une feuille de mente parce que tu es la plus intelligentes.
Un tournesol parce que avec toi je sens que je vole.
Une orchidée pour ta beauté.
Une tulipe pour ta douceur.
Une rose rouge pour ta chaleur.
Je jure se ma vie de toujours t’entourer de fleur.
De dépenser tout mon ardeur.
Pour apprendre à t’aimer.
Si tu veux accepte de rester.
Si tu devient devenir mon yang.
Si tu veux que je devienne ton ying.
Jamais s’éteindra ma flamme.


Une chanson modifié pour Jalkan parcequ'elle le représente bien,

Dis pourquoi le jour, la nuit ?
Pourquoi l'eau, le feu, la terre ?
Et pourquoi le vent, la pluie ?
Pourquoi tous ces grands mystères ?

Jalkan, l'enfant des âges farouches
Jalkan, plus vite que le vent
Plus fort que toutes les vagues de l'océan
Toujours plus loin, Jalkan

Jalkan, l'enfant de tous les hommes
Apprends et protège les bonnes des forces du noir
Bats-toi, invente-nous des mondes plus grands
Toujours plus beaux, Jalkan

Crie par dessus l'ouragan
Bats-toi face aux démons géants
Seul contre les plus maléfiques sorciers
Que ta voix chante la liberté

Crie l'horreur, la faim, le sang
Crie l'oubli
Ta vie est un cri, Jalkan

Jalkan, oublie les temps farouches
La peur plus sombre que la nuit
Tu vois s'étendre dans la Lune si ronde
Tout le sourire du monde

Jalkan, si le soleil se cache
Là-bas très loin dans sa tanière
Descends profond sous les rayons du couchant
Plonge dans sa lumière

Seul perdu dans la nature
Tu te bats, ennemie des forces obscures
Marche dans la nuit des temps
La vie est un défi constant

Crie plus fort, combat la mort
Crie ton corps
La vie est un cri d'enfant


Jalkan, parmi les hommes farouches
Tu cours comme un enfant perdu
Ton coeur, plus chaud que tous les feux d'un volcan
Brûle d'un espoir plus grand

Jalkan, ton chant de justice perce le noir.
Des hommes, raconte les victoires
Victoires nombreuses comme les cailloux d'un torrent
Comme la mémoire du temps

Va toujours plus loin, Jalkan
Va toujours plus haut, Jalkan
Ta vie est un cri, Jalkan

Dis pourquoi le jour, la nuit ?
Pourquoi l'eau, le feu, la terre ?
Et pourquoi le vent, la pluie ?
Pourquoi tous ces grands mystères ?
Va toujours plus loin, Jalkan

Va toujours plus haut, Jalkan
Ta vie est un cri, Jalkan