Le désert s'étandait à perte de vue et le soleil commençait à chauffer sérieusement. Myllfride s'arrêta et enleva l'armure de son bras gauche. Il en vit un petit parapluie qui le protègerait de l'intense soleil. Puis il tatta le sol du plat de sa main libre, mais rien, il y avait trop de sable pour faire quoi que se soit de du sol.

- Trop de sable, il y a trop de sable. Dit-il en tapant le sable qui s'envola comme une fumée légère.
Puis il se souvint du troll qui avait combattu sur Galynn.
Se mettant en tailleur, il prit une position ritique et commenç à déglutiner une fiole contenant un os ou plutôt un morceau d'os.
Appliquant sur l'os son pouvoir préféré, il fit appaître après une lumière bleutée un troll gigantesque.

- Mon gros, tu vas me servir de monture. Allé baisse toi je suis fatigué

Comme un gros chien innofensif, le troll s'abaissa au aordre de son maître et le porta sur ses épaules.

- Que c'est agréable d'avoir de groose bebête qui vous obéissent au doigt et à l'oeil sans même brncher d'une narine. Allé avance petit zombi et ne t'arrête pas avant d'avoir atteint la première ville.

S'endormant sur les épaules du troll zombi Myllfride se lançait à la découverte d'un nouveau monde mais le danger le guêttait sûrement...

Myllfirde ne bougeait plus, plus rien autour de lui ne bougeait, même le vent ne caressait plus ses joues mais le soleil lui tapait encore plus fort. Il ouvrit les yeux et se rendit compte qu'il s'était arrêté.

- Ne t'avais-je pas dis de ne jamais t'arrêter.

Et le troll reçu un coup sur la tête. Toujours aussi las, le troll restait sur place sans bouger ni même dire un mot et fixait un endroits du désert. Son regard essayait de transperser la côté ouest car lui voyait tout ce qui s'y passait.
Myllfride se rendit compte alors qu'il y avait danger.

- Que vois-tu ?
- J'oubliait. Tu ne peux pas parler, les troll son idiots.

Soudain le troll se mit à courir dans la direction opposer sans prévenir, ni même faire attention au reproche de son "créateur". Le sable chaud et épais, absorbait chaque pas que la créature faisait. Puis il se retrouva au sol.

- Qu'est qu .....

Son troll était mort, les jambes arrachées par quelquechose ou quelqu'un. Il ne pourrait plus en faire un, puisse qu'il lui fallait une partie du cors de l'originale. Le corps du troll s'évapora, résultat de la mort d'un zombie et Myllfride se retrouva seul aussi soudainement que l'attaque avait surgit.
Autour de lui, des formes dans le sable bougeaient, passaient et repassait aussi rapide que Myllfride l'eu été. A vue d'oeil, il y avait deux choses dans le sable.
Lui au milieu et autour des formes dans le sable, il était clair qu'il allait se faire attaquer et il n'amait pas ça car il avait horreur de ne savoir à quoi ressemble son ennemi. Aussi, il matérialisa dans sa main gauche un bouclier de forme octogonale et dans sa main droite, des griffes qui suivaient emplement les courbes de sa main.
Il réfléchit et se disait qu'il ne serait pas ingénieu d'utiliser une telle face à un adversiare visiblement très rapide. Alors il changea ses griffes en lance, plus efficace pour les attaques à distance. Et il s'avéra que son choix avait été judicieux car les ennemi ou plutôt les créatures du désert ne terdèrent pas à se montrer. Enfin il voyait ses ennemis, scarabés géants au pince énorme.
J'ai horreur des insectes, dit-il en évitant un coup de pince et les deux insectes s'éparpillèrent sur les deux côtés de Myllfride.
Deux ennemis, une arme se n'était pas jouable. Le scarabé le plus prêt était à sa gauche. Le premier qui attaqua fut celui de droite et dans une suréxitation le seconde s'engagea de même. Myllfride balança son bouclier, pivitant sur lui même dans la face de l'insecte (gauche) puis sa lance ne tarda pas à suivre. Et il fit mouche, une créature de moin mais l'autre arrivait, aussi, il s'élança sur le corps mort de l'insecte ésquivant le coup de patte qui lui déchira son habit. Haut passage, il arracha un morceau d'aile du scarabés et se plaça debout, face à l'autre bête qui s'était arrêtée.

- Tu vas te battre contre toi-même mon gros !!

Du morceau d'aile placé entre les mains, il fit apparaître en quelque seconde après une lumière bleuté un scarabés, identique à l'autre. Sans savoir pourquoi, le scarabé zombie s'attaqua immédiatement à son semblable qui était désamparer...

Myllfride fut surpris, et se retourna en sursaut. Puis son regard s'appaisa car il avait une belle créature en face de lui. Elle tenait une fiole rouge à la main et ne lui voulait surement pas du bien.
Les scarabés se battaient toujours derrière lui. Il demanda:

- Je suis Myllfride. Qu'est que je fais ici ? Excusez-moi, est ce que se désert vous appartient ? A moins que "oui", je ne suis pas obligé de vous répondre et puis la moindre des choses, c'est de dire "bonjour".
Ce serait plutôt à moi de vous poser ces questions...

La jeune femme parue surprise à son tour. Elle ne s'était pas attendue à une telle réponse de cet inconnu. Avançant de quelques pas, Mejai lui répondit-elle d'un ton ferme:

-N'usez pas trop de votre salive vous en aurez besoin pour sortir vivant de ce désert. Quand aux questions auxquelles je suis maintenant censée répondre, je me contenterais de dire que ce désert ne m'appartient pas mais qu'il est dans mon intérêt de faire attention à ce qui s'y "balade".

La jeune femme s'était doucement rapprochée de Myllfride dont les pouvoirs avait pour effet de maintenir le combat entre les deux cafards géants, puis, le jugeant du regard, Mejai continua d'une voie plus douce:

-Mon nom est Mejai. Je vis dans ce désert mais je passe mon temps entre Briskel et Bjimahal la cité du désert dans laquelle je suis installée. Il n'y pas grand monde qui passe dans le désert...les créatures qui y sont présente dissuadent souvent les voyageurs de venir passer du temps à Bjimahal...d'ailleurs qui voudrait y passer du temps ? C'est une ville emplie de truands et d'assassins...
Une lueur passa dans le regard de la belle femme mais aussitôt, elle fit:

-Je suis moi même une très mauvaise fréquentation... s'approchant encore du jeune homme, Mejai recula soudainement pour lancer sa fiole sur les deux cafards qui s'étaient dangereusement rapprochés du couple.

Ils poussèrent tous les deux de grands cris et dans un gargouillis semblèrent être rongés par de l'acide très puissant. L'un mourut plus vite que l'autre mais tous deux finirent pas arrêter d'agiter leur multiples pattes noires.

Se retournant vivement vers Myllfride, Mejai saisit une nouvelle fiole à sa ceinture comme craignant une attaque de ce dernier par derrière.

Tout s'était passé un peu vite. Mylfride avit vu un liquide sortir d'une fiole et tuer les deux scarabés. Dommage il aurait bien voulu en avoir un dans sa garde personnelle mais tanpis. Puis la femme face à lui aussi délicieuse que diabolique prit une autre fiole de sa ceinture. Cette fois-ci elle était pour lui.

- Du calme ma jolie je sais pas pourquoi mais j'ai l'impression que tu veux te battre avec moi. Je n'ai pas pour habitude de me battre avec n'importe qui sauf si c'est dans mon interêt. Mais ici je ne vois rien. En plus je viens d'arriver de Galynn et je ne voudrais pas me faire d'autre ennemi. Et je ne fais que passer alors à moin que tu ne sois ici pour te battre avec moi je te prirais de ranger ce dangeureux liquide que tu tiens dans la main. Un accident est très vite arrivé.

Myllfride savait que en parlant ainsi il allait sûrement l'énerver, alors il retira l'armue qui avait au bras gauche et le tînt dans sa main, prêt à réagir au moindre faut pas de la jolie demoiselle...

La main de la jeune femme ramena la fiole contenant le nouveau liquide à sa ceinture. Elle ramena ses long cheveux ondulés sur ses épaules et expliqua:

-Je ne veux pas me battre avec vous mais je n'hésiterais pas à vous tuer si dans vos paroles ou vos gestes je sens quelque chose d'hostile envers moi.

Levant son regard vers Myllfride, ses boucles d'oreilles reflétèrent le soleil dans un éclat d'or. Elle se diriga vers la dune derrière laquelle elle était arrivée, sa longue robe frôlait le sable gracieusement. Elle s'arrêta et demanda :

-J'ai mon cheval derrière cette dune. Voulez-vous m'y accompagner ? Je pourrais vous emmener à Bjimahal ou Briskel même si j'en reviens...

La jeune femme lui proposa de l'enmener quelque part, il ne connaissait rien de Nelendark et n'avait rien de prévu, une petite balade à cheval dans le désert ne lui ferait pas de mal en plus il ferait la traversée avec une jolie femme.

- J'accepte, vu que je n'ai rien à faire mais à une condition je monte derrière ton cheval, j'aimerais un peu me reposer je suis trop fatigué...
Bon allons-y....

Mejai emmena Elendir derrière la dune et monta gracieusement sur son cheval blanc.

-Bien sur, montez ! Je ne vais tout de même pas vous faire courir derrière alors que je vous propose de vous accompagner jusque Briskel !

La jeune femme tendit une main à Myllfride et sans attendre qu'il la prenne le hissa derrière elle.

-Attention je n'ai pas l'habitude de chevaucher lentement...

Le cheval partit au galop. Il traversèrent une grande partie des dunes géantes avant de faire une halte. Descendant de cheval et se mettant à l'ombre d'une petite dune de sable, Mejai sortit une gourde et la lança à Myllfride.

-Au fait que venez-vous faire dans ce pays ? Vous n’êtes pas d'ici et ne paressez pas connaître Nelendark ! Comment vous êtes-vous retrouvé dans ce désert ?

- Ce que je fais dans ce désert ? Je ne sais pas, je suis passé par le portail de Galynn pour visiter cette contrée et j'ai attérit ici sans le vouloir.
Au faite où va t-on ?

Trittye arriva dans le désert il faisait trop chaud mais heureusement qu'elle avait ses "larmes"...
Elle s'arrêta en haut d'une coline et nu pas de mal à repérer celui qu'elle cherchait. Myllfride était là à l'ombre et discutait avec une inconnue.
Elle s'avança et se mit à courir en direction des deux gens.
Arriver devant Myllfride, un peu surpris, elle le gifla.

- Que viens-tu faire ici ? Je t'avais dis que je ne voulais plus jamais te voir, tu n'a pas le droit de venir à Nelendark. Répond que viens-tu faire ici ?

Slike arriva, trois personne était à l'ombre face à ce soleil qui tapait si fort. Il n'avait pas eu de mal à les trouver à cause des bruits et de leurs odeurs. Il fallait faire vite la guerre allait bientôt débuter et il manquait cruellement d'alliés...
Slike arriva devant le groupe et se métamorphosa en être humain pour prendre la parol, la seule personne qu'il connaissait ici était Trittye, et il avait besoin d'elle.

- Trittye viens vite, Èlendir à besion de toi, il y a la guerre la vampire veux déclancher la guerre et il n'y à personne pour venir en aide à Natalya et ses alliés, je sais que ce n'est pas notre guerre mais nous y sommes mêlés quand-même alors viens je t'en suplie. Ils se trouvent à la tour glanderk.

Regardant les deux inconnus, il s'adressa à eux...

- je ne vous connais pas mais si vous voulez vous pouvez venir, votre aide nous sera précieuse. Mais je vous préviens le mal à rassemblé une armée gigantesque et les loups-garous traîne tout au tour de la tour Glanderk, si vous n'avez peur du combat, vous êtes les bien venu.

Se transformant en loup, forme qu'il préférait de loin, Slike attendait une réponse...

Mejai dévisagea le lycan qui l'avait effrayé au départ et tourna son regard sur Trittye, un regard d'ailleurs très mauvais...Cependant la belle égyptienne savait qu'il y avait d'autres chose à penser...S'adressant au lycan, elle remonta sur son cheval :

-Je dois accompagner Myllfride à Nelendark. Je serait des votres pour combattre les armées noires. Mes poisons vous seront utiles. Et puis...si Briskel est détruite, Bjimahal le sera tot ou tard.
Myllfride dois-je vous laisser parcourir le désert avec votre "amie" ou remonterez-vous derrière moi ?

Mejai était une empoisonneuse réputée pour sa méchanceté envers les femmes mais elle eu une idée. Parlant à Trittye et au lycan elle demanda:

-La jeune femme ne pourrait-elle monter sur le lycan ?

- Ce n'est pas ma guerre, je viens d'arriver ici et je ne voudrais pas m'encombré. Je viendrais mais plus tard, j'ai quelque chose à faire avec cette charmande créature.
- N'est pas Mejaï ?!!!
- Alors n'attendez pas pour l'instant mon aide.

Il passa devant Slike et guêta de près son immense carrure. Caressant son pelage Myllfride retira immédiatement sa main quand Slike fit mine de la mordre.

- Partons Mejaï partons...

Moi je viens avec toi. Myllfride on se revéra. Aller Slike allons si faisons vite la guerre n'attends pas...

Citation :

N'est-ce pas Mejaï ?!!!

L'égyptienne fut surprise par les propos de Myllfride ne sachant plus que penser. Jamais encore elle n'avait été aussi rapidement amicale avec un étranger. (remarque elle ne l'avait encore jamais été auparavant puisqu'elle n'était tombée que sur des rustres, des voleurs et des assassins dans Bijmahal). Les paroles de Myllfride résonnaient dans la tête de l'empoisonneuse...

Citation :

Ce n'est pas ma guerre

Après tout ce n'était pas non plus la sienne...Mejaï n'avait jamais parlé à la régente de Nelendark ni à des habitants de Briskel...elle était allé une fois à la Taverne mais était vite revenue dans le désert...Cette guerre, elle n'en connaissait pas vraiment les causes...Enréalité c'était plus le goût de la bataille qui l'avait fait prendre cette décision. Bijmahal risquait d'être touché si cette guerre était perdue par Natalya mais elle savait que si elle devait se battre ce serait plutôt à ce moment là.

Citation :

Partons Mejaï partons...

-Je...oui. Finalement, cette guerre n'est pas la mienne non plus. Je me suis emportée...Trittye, Slike, je n'irais pas à la guerre. Vous irez seuls...je reste dans le désert.

Mejaï tira doucement sur la bride de son cheval qu'elle arrêta de nouveau prêt de Myllfride.

Très charmer de l'attitude de Mejaï, Myllfride monta sans hésiter. Le désert lui paraîssait pour la premier fois calme et pésible, rien même pas le soleil ne lui faisait regretter le moment qu'il passait. Qu'il était bien de se faire conduire par quelqu'un. Il pensait à ce qui se passait, il y avait la guerre et il n'avait nullement l'intention d'y participer, tout ce qu'il voulait s'était se reposer. Puis il songea à leur direction :

- Au faite on va où ? Briskel c'est ça ?

Mejai laissa Myllfride monter derrière elle. Elle le sentait dans son dos et n'en n'était pas très rassuré. Non pas qu'elle avait peur des gestes qu'il pourrait faire, car elle était dans cette position très vulnérable à celui-ci; mais c'était la première fois qu'elle faisait autant confiance à un étranger sans raison apparente...

Citation :

Au fait on va où ? Briskel c'est ça ?

Tirée de ses pensées étranges, la jeune femme répondit comme on répond à étranger que l'on trouve particulièrement sympatique:

-Aller vers Briskel, c'est aller vers la guerre...mais si vous souhaitez vous y rendre à des fins personnels, je vous y emmènerais. Je suis une fille du désert et je n'ai pas de but précis en cette terre. Je me suis établie à Bijmahal, la cité des sables dans le seul souci de tranquillité...
Enfin, ria-t-elle, si je puis utiliser ce terme pour qualifier la vie à Bijmahal !
Disons que j'ai choisi cette cité pour son éloignement du centre de Nelendark.

Se rendant soudainement compte qu'elle parlait plus qu'elle ne devrait, Mejai rougit et reprit:

-Alors ? Où allons-nous noble voyageur ?

- En faite je ne sais pas, peut-on se tutoyer ? En tout cas moi je le fais.
On peut gentillement visiter le désert, où si tu le souhaite aller sur Galynn. Pas mal de choses m'attendent là-bas et un peu de compagnie féminine ne serait pas de mal.

Myllfride sentait malgré tout combien Méjaï était crispée. Rien d'anormal puisqu'elle lui avait semblée rejetter le genre humain, mais qu'importe il était là derrière elle et tout ce passait bien comme ça, jusqu'au moment où cheval se cabra et avant de tomber Myllfride aperçu le sable remuer et onduler comme un serpent...

-Ah !

Mejai n'eu pas le temps de réagir aux paroles de Myllfride: elle lui retomba dessus avant d'avoir pu ouvrire la bouche pour parler. Le cheval semblait devenir fou. Il courrait, s'arretait, revenait, se cabrait et henissait plus qu'il ne fallait pour finallement partir au galop et disparaitre derrière la dune la plus proche.
Les cheveux enmelés devant son visage, les mains enfoncées dans le sable brulant, Mejai se releva vivement en enlevant d'un coup de tete ses cheveux sur le coté. Tendant une main à Myllfride, elle s'écria affolée:

-Vite ! Il faut...

Mais elle n'eu pas le temps de finir. Un tremblement terrible remua le sable sous les pieds des deux aventuriers et dans un explosement, un gigantesque vers des sables surgit du sol provoquant l'envoi d'une grande quantité de sable qui aveugla l'égyptienne. Les bras devant son visage pour se protéger, Mejai releva la tete pour voir le monstre.

Il était rééllement horrible de part sa taille et son aspect physique. Elle ne le voyait pas en entier mais il devait faire au moins 300 mètres de long. L'horreur possèdait une machoire avec de multiples rangées de dents aussi grandes qu'une tete humaine sur laquelle s'ouvrait une bouche en trois parties.

Se redressant de la moitier de sa hauteur, il se mis à aspirer le sable près à s'offrir deux apétissants humains-sablés...

Un vers des sables était sorti de sous le sable, plus long que jamais il se tortillait inlassablement remuant son corps comme un vers qu'il était. Soudain le sable se souleva et la terre qui restait tremblait, tremblait plus que jamais, le vers voulait les aspirer, et Myllfride ne voulait pas finir ici, pas comme ça. Tout volait, grains de sable, petits insectes et eux aussi allait bientôt s'envoler. Et il n'y avait rien même pas un arbre à côté.
Dans ce désordre, Myllfride eu une idée, envoyer un petit cadeau à notre visiteur malvenu...

- Mejaaaaïï !!! Accrocche tooooi ààà mooiiii !!!!
* Je vais tenter quelque chose* (pensés de Myllfride)

Myllfride enleva avec difficulté les deux gantelets de métal qu'il avait sur ses deux bras. le métal brillait, touchant quelque fois les rayons du soleil. Tout autour de lui, le sable volait et il n'apercevait même plus rien à part les grain de sable.
Il colla ses deux gantelets et les fusiona sans plus attendre. Maintenant il avait un gros morceau de métal dans les mains.
Se concentrant immenssement, il pu obtenir une lance gigantesque, d'une taille qui se rarpochait de 6m. Mais il ne pu la garder longtemps, la force de soufle de la bête état trop forte...
Mais s'était justement ce qu'il cherchait. *je t'ai bien eu salle bête, cela va te calmer pour un moment*
Sans comprendre comment mais pourquoi, la gigantesque lance vînt se loger dans la gorge du vers. Pas de dégâts grave à déporer pour la bête mais assez de temps à Myllfride et Méjaï pour s'organiser.

- Aller viens, courront vite, on cherchera comment l'attaquer après, mais d'abord cachons nous, il ne doit pas nous voir...

Il la prit par la main et se mit à courrir...

Mejai se laissa prendre par la main et suivit Myllfride. Le ver gesticulait dérangé par la lance qu'il avait de planté dans le palet. Mejai se demandait où est-ce qu'ils pourraient se cacher lorsque contournant une dune, ils tombèrent sur une ébauche d'oasis rocheux.
Pressant la main de Myllfride, Mejai l'entraîna derrière un rocher de bonne taille. Se plaquant derrière accroupie, elle ramena sa robe sur ses genoux afin qu'elle ne dépasse pas de leur abri de fortune.

-Et maintenant ?! demanda la jeune femme Qu'allons-nous faire ? J'ai combattu bien des assassins mais jamais je n'ai mis à terre une telle créatures !

Tournant ses yeux du désert vers Myllfride, elle l'interrogea du regard.
Le vers s'était aperçu de la fuite de ses proies et commençait à oeuvrer pour les retrouver. La terre tremblait et le sable tournoyait. Le vent c'était levé, ce qui ne facilitait pas beaucoup la tache des réfugiés. Le vers contourna la même dune qu'avaient contournés Myllfride et Mejai auparavant et continuait ses recherches.
Mejai chuchota :

-Je n’ai pas d’arme et tu as perdue la tienne…Mes poisons pourraient servir mais je doute que leur quantité soit suffisante pour un tel monstre…

L’égyptienne n’avait pas lâché la main de son compagnon et s’était blottit contre lui afin de rester bien dissimulée.

Myllfride cherchait, il cherchait dans sa tête une idée qui pourrait être assez efficace pour maître Ko ce gros tas de vers. Comme Méjaï lui avait fais remarquer, il n'avait plus d'arme, plus rien. Elle l'interrogeait du regard et là Myllfride eu une sensation de bien être malgré les circonstances. Il ne voulait quand-même pas finir ici avec elle... Au moment où elle le serra fort Myllfride eu l'idée qui pourrait peut-être les aider.

- Méjaï, dit-il avec difficulté car le vent était lourd, je crois qu'on peut s'en sortir. Pourquoi ne pas utiliser mes dont de nécromancien. Tous ce qu'il me faudrait c'est un morceau, une parite de la peau où du corps de cette bestiole. Ainsi je pourrais reproduire le même ver qui m'obéira mais cela me demandera du temps.
Mais d'abord il faudrait l'approcher et lui retirer quelquechose et puis je sais pas si t'es d'accord, c'est la seule idée que j'ai trouvé...

Mejai serra la main de Myllfride puis lui sourit.

-D'accord...de toute façon c'est la seule solution.

Elle embrassa l'homme sur la joue tendrement puis sortit à quatre pattes de derrière le rocher. Le vers se dressait, cherchait, creusait...le monstre faisait trembler la terre furieusement. Se remettant debout, la jeune femme chercha des yeux un endroit d'où elle pourrait...là ! Un palmier...
Aussitôt, Mejai monta à l'arbre avec agilité en évitant de tousser à cause du sable que le vent et le vers soulevaient.
Gênée par sa robe, elle réussit tout de même à attraper un de ses flacons qu'elle portait à la ceinture. Elle pris soin de choisir le produit le plus corrosif.
Soudain Mejai se rendit compte que le vers n'était plus là. Le cherchant du regard à travers le sable qui accompagnait le vent, elle sentit le sol trembler: le vers s'était enfouit sous le sable. Il ressortit tout près de l'abri rocheux fracassant quelques pierres au passage.

-Non ! Hey ! Vient par-ici !

Mejai avait crié de peur que Myllfride ne soit découvert par le vers mais c'était une erreur. Le vers était assez loin de la pierre derrière laquelle il était caché. Le vers n'avait pas d'oreille mais son ouie sensible au vibrations de l'air lui indiqua où il fallait qu'il attaque.
Avec une rapidité étonnant, il surgit sous l'arbre le déracinant. L'égyptienne roula sur le sol et réussi à jeter sa fiole sur le vers avant de pousser un cris :

-Par Horus !

Le vers avait sentit la brûlure sur son flanc mais il s'était trouvé une proie. Il fondit sur la jeune femme qui l'esquiva mais qui fut prise par le sable. Le vers plongea dans le sable qui recouvrit Mejai sous plusieurs mètres avant de ressurgir. Un bout de peau pendait du corps mou de la créature qui avait frotté la surface brûlée dans le sable.
Mejai avait réussi mais à quel prix...

Myllfride la regardait s'en allez et il la voyait encore lui donnant un baiser. Il rêvait mais il fut très vite ramené à la réalité quand le ver manqua de le trouver, distrait par Méjaï. Elle avait réussi et un lambeau de chaire pendait lamentablement du corps affreux du ver...
Avec un sourire il chercha Méjaï du regard mais ne la vie plus quand le ver rampait sur elle.

- Nooooooooonnnnn !!!!!!

Méjaï avait disparu, non pas elle, pas juste au moment où il pensait pour la première fois à quelqu'un d'autre que lui. Une rage immonde l'envahit et il commençait à détester tout ce qu'il l'entourait, le désert, le sable, mais il avait beau être l'homme le plus fou de rage au monde, il était sans arme et impuissant face à ce ver géant. Mais c'est ces moments là que les meilleurs idées surviennent...
Pris d'un courage sans borne Myllfride décida d'agirent :
Il monta sur le rocher qui le cachait et cria de toute ses forces, faisant ainsi résonner l'éco dans les minces oreilles du ver. Celui ci comme prévu se dirigea instinctivement ver la source des vibrations. Arriva à sa hauteur, Myllfride plongea délibérément sur ver, arrachant ainsi au passage le morceau de peau qui pendait sur le bas côté, évitant par la même occasion la morcure qua allait lui administrer le ver.
Se tortillant comme un animal que l'on vient d'abattre, le ver projettait le sable dans tout les sens. Tout ce qu'il voulait s'était Méjaï et rien d'autre.

- Alors une petite blessure de rien du tout te fait donc tant mal.

Le ver s'était arrêté net, écoutant à présent l'éco qui lui parvenait lentement puis une nouvelle fois il s'élança rampant sur le sable chaud qui recouvrait le désert...
Comme le ver avait une faible vue, Myllfride allait se jouer de lui, atteignant ainsi l'endroit où Méjaï avait été encevéllie.

De gestes rapidemant et précis, il enleva le haut de son armure. Il attendit que la bête soi suffisament prêt, puis de toute ses forces il projetta au loin son armure. Celle ci lui servait d'âpat et il allait pouvoir rejoindre Méjaï (le ver croit que l'armure est Myllfride). Il courait, courait très vite malgré le sable qui dissipait chacun de ses pas, tenant fermement dans ses mains le morceau de peau qui faisait à peu prêt la taille de son torse. Arrivé à l'endroit où il lui sembalit l'avoir vu pour la dernière fois, il jeta la peau prêt de lui et commença à creuser, creuser et creuser encore...

-S'il te plaît fais moi signe, ne te laisse pas aller, ce n'est que du sable, Mééééjaaaaaaaïï !!!

Des larmes commençaient à couler de son visage quand une rafale de vent souleva le sable et là il vit un doigt, celui de Méjaï. Il commençait à creuser et sentit bientôt tout le corps apparaître au jour...