Alors une voix s'éleva sur le banc des témoins faisant objection aux dire de l'archange , c'était Aéris. L'ange avait assisté à cette scène entre Oromë et Natalya Himura.
- Je me permet d'intervenir pour soutenir ma souveraine . Je puis témoigner qu'Oromë archange du combat ici présent , ment même sous le sort de vérité . J'ai assisté en personne à cette scène . Natalya Himura dit vrai.

"Tu n'as pas comprit, créature? Ce sort m'empêche de mentir. Je ne peux dire que la stricte vérité. Le mensonge me ferait mal, la bouche dirais que je mens. Nul ne eput outrepasser ce sort divin!"

L'oeil scilla mais rien d'autre ne se passa.

"Je le répète, j'ai donné deux choix, entre lesquels on ne pouvait choisir que l'un ou l'autre. Elle a rejeté celui du pardon et du retour à la lumière, elle méritait donc de mourir. Mais si vous mettez encore en doute ma parole, nous pouvons tout simplement invoquer le passé. Au moins, là, nul ne pourra cacher la vérité."

-Certes tu lui a donné deux choix , et en effet elle n'a choisit ni l'un, ni l'autre donc cela n'inclut pas le combat seul toi en a décidé ainsi , tu n'aurait pas dû attaquer. Et si tu n'avais pas attaqué il ne se serait rien passé vous seriez reparti chacun de votre côté .

"Reparti de mon côté?"

Oromë avait une expression à la fois incrédule et désabusée...

"HAHAHAHAHAHAHAHA! Reparti de mon côté...elle est bien bonne! Je suis ici pour traquer les déchus. Les ramener à la Lumière ou les détruire...il n'y a pas de solution "repartir de mon côté". Je lui ai laissé une chance, elle ne l'a pas prise, sa mort était et reste nécessaire."

Citation :

"HAHAHAHAHAHAHAHA! Reparti de mon côté...elle est bien bonne! Je suis ici pour traquer les déchus. Les ramener à la Lumière ou les détruire...il n'y a pas de solution "repartir de mon côté". Je lui ai laissé une chance, elle ne l'a pas prise, sa mort était et reste nécessaire."

Donc tu avoues que c'est toi qui l'a attaqué dans le but fort louable de la tuer... et que par conséquent ELLE ne t'a pas agressée et que c'est TOI qui a commencer cette bataille contre elle...

Liane s'était levée et s'étaient adressée à Oromë d'un ton froid.

Ainsi, Orome ne souhaitait réellement que la mort de la déchue. Celle-ci n'en avait pas douté une seule seconde mais maintenant aux yeux de tous sa volonté avait clairement été exposée.

-Parfait...Si ici tous sont convaincu de l'efficacité de ce sort de vérité, alors je suppose que tu as raison. Cependant, si je n'ai pas choisi la vie, crois-tu que cela te donne le droit de choisir ma mort ? Moi seule en décidera.

Natalya sourit à la réaction d'Orome. Sur son visage la colère et la haine y étaient si marqués...Poussant encore plus son insolence, l'ange noire continua:

-Tu te demande sûrement pour qui je me prends...Je me prend pour la reine d'un royaume qui ne se laissera pas déloger par un être aussi vicieux, belliqueux et malveillant que toi Orome.

Natalya ne supportait plus les rires d'Orome. Parce qu'il était en position de supériorité en étant juge, l'ange noire rageait. La pratique du sort de vérité étant une pratique de Dieu, elle avait perdu son calme.

Quelque chose n'allait, Èlendir se sentit mal à l'aise. Toujours debout il serra plus fort la rembard d'où il se tenait. Trop de mensonges, trop de haine, trop de tout, Oromë en faisait trop et Èlendir commençait à penser qu'il ne voulait rien d'autre que la mort de la déchue.

- Mensonge !!!

- Oromë vous trompe tous ici que vous êtes. Il est puissant mais ça pervertion et son ambition en font un grand danger pour vous. Il est même plus dangereux que le fils du diable, plus démoniaque que les démons. Ne voyez vous pas la lueur de folie dans ses yeux.

- Je suis un païen, et fier de l'être, mais ce n'est pas pour cette raison que mes propos doivent être survollés. Je vous dis la vérité à tous. Lucifer n'était il pas la création de dieu ? Si, et pourtant personne, ni dieu lui même ne s'était douté qu'un jour il allait devenir le diable.
Oromë est pire que Lucifer et l'équilibre de cette contrée, ne dépend que de la soif de pouvoirs d'un ? Mais où est passée la vérité ? Où sont passés les anges ?

- Je suis né par la grâce de dieu certe mais lui m'a laissé le choix de l'adorer ou bien de n'en rien faire... Et j'ai choisi, de part ma prope conscience de n'en rien faire... M'a t-il puni ? M'a t-il détesté ? M'a t-il envoyé un de ses anges pour me "purifier" ? Non, car je suis toujours là, libre et conscient de mes mouvements...

- Alors que toi Oromë, toi qui te dis proche de dieu, tu ne lui as pas laissé le choix. Sommes nous vraiment sur que Dieu à dicté cette action. Natalya n'était une menace pour personne, et tu as choisi de l'attaquer. Toi tu as eu le choix, sous seul pretexte que tu possède des ailes.

- Je m'en remets à ta raison car seul toi sait ce que tu cherche mais est il neccessaire d'emporter la vie de quelq'un dans ton malheur. Oui tu est malheureux, car je me souviens encore de ta personne, la première fois que nous nous sommes rencontrés. Tu te battais pour le bien. Même quand se royaume fut attaqué tu t'es battu pour le bien. As-tu changé Oromë, ou faisait tu seulement semblant ?

Tout en restant debout serrant plus fort la rembard, Èlendir croulait sous l'explosion de colère des anges présent dans la salle...

Oromë écouta Elendir avec un sourire ironique au début, mauvais par la suite...et à la fin, son visage sembla changer, bien que seul Elendi put le voir...il devenait gris, puis noir, prenais des traits animaux...ou plutôt sauriens. Il ouvrit une gueule pleine de crocs...

Puis il y eut un flash et oromë était redevenu Oromë...et à la vue de la façon dont se comportait les gens, seul Elendir avait pu le voir...

"Cesse ton laïus inutile, Elendir, je l'ai déjà dit. A race différente, loi différente. Les anges ont été créé par Dieu pour le servir, nous n'avons pas le choix, nous devons le servir un point c'est tout. Il n'existe pas d'entre deux chez nous. Soit nous servons Dieu, soit nous le combattons. Tu es humain, oui, tu peux renier Dieu de ton vivant...mais tu le paieras dans la mort. Tel est votre fardeau."

Oromë fit un geste pour faire taire le brouhaha...d'un geste, il fit signe à Caldarion de détruire le sort de vérité...une fois que ce fut fait, il reprit...

"Et je commence à en avoir plus qu'assez de vos agnégation sur "Oromë le démon". Je suis Archange, Poing de Dieu, Main Gauche de Dieu, représentant du Bien absolu sur cette Terre, venu ici pour la purifier du mal et y établir la foi du Très-Haut. Voilà ce que je sui. Rien de plus, rien de moins."

S'en était trop pour Liane, elle s'accrocha à la rembarde et cria à l'adresse de l'archange:

Arréte! Arréte de parler ainsi de ton Dieu! Cela fait longtemps qu'il désaprouve tes actes et tu le sais trés bien!

Elle se calma un peu et poursuivit:

J'étais inconsciente et Ton Dieu m'a parler! Et j'ai entendu ce qu'il t'a dit!Je l'ai entendu quand les dragons sont partis! "Tu as salis Mon nom" a-t-il dit! Tu le sais trés bien et tu t'en souviens! ce jour la ta cupidité a pris le coup violent qui devait arriver! Es-tu sur qu'il te considère encore comme son poing gauche Oromë archange du combat?

Elle se tourna et cria à l'assemblée en pointant du doigt l'archange:

Cet individu que vous considérés si digne de votre respect n'est même pas digne de son Dieu! Ecoutez bien les paroles de Votre Dieu! Lui même as dit qu'il n'était plus digne de son rang!

Elle regarda Natalya et continua:

Si cette femme faisait vraiment tord à Votre Dieu, si Votre Dieu ne voulait plus d'elle, il y a bien longtemps qu'il se serait occupé de sa mort depuis bien longtemps!

Une larme de fureur coula sur la joue de la tavernière.

"C'est vrai, les dragons sont repartis. C'est vrai, j'ai sali le nom de Dieu se jour là...Parce que j'ai employé des forces terribles, bien trop puissante pour l'amrée de loqueteux qui se battait de part et d'autre ce jour là...mes fiers anges étaient les seuls à relever le niveau ce jour là, et Dieu a considérer qu'il sufirait à la tâche. Voilà, pourquoi!

Que cela cesse. Nous ne sommes pas ici pour mon jugement, mais pour celui d'une déchue. Vous êtes en ces lieux pour la défendre, non pour m'attaquer. Encore un mot de ce genre, et je vous fait sortir de la salle, c'est compris? Tentez de résister et vous comprendrez que je suis encore la Main gauche de Dieu!"

-Oui ! Que cette mascarade cesse !

Le poing levé, l'Archange c'était levée. Au milieux des arbalétriers sur la corniche, Kashia cria:

-Un ange qui trahit la Lumière est une abomination ! Cette déchue revendique son hérésie et les paroles de ses compagnons ne sont que blasphèmes ! Justice ! Justice divine nous demandons !

Parmis l'assemblée, plusieurs anges s'étaient levés à leur tour le poing levé. Cependant une grande majorité semblait indécise. Tous parlaient à voix haute et un terrible brouhaha s'installa dans le tribunal. Certains qui n'avaient jamais apprécié Orome commençaient à pencher du coté de la déchue. D'autres ne dévoilaient pas leurs pensées.

La tension commençait sérieusement à monter dans le tribunal. Liane et Elendir s’étaient levés, une Archange brandissait le poing dans leur direction et celle de Natalya. La reine perdait patience ce qui était mauvais signe. Dans ce brouhaha infernal, l’elfe se leva à son tour et frappa des poings sur la rambarde. Pointant un doigt accusateur sur Orome il cria à tous les juges :

-Si cet Archange fait partit des accusateurs, si ces dires sont remis en doute, pourquoi est-ce lui qui préside dans ce tribunal ! Je demande un autre juge ! Un juge impartial !

Quelques anges approuvèrent la demande de l’elfe, d’autres hurlaient que l’ont fasse sortir ces étrangers. L’ambiance devint très vite si tendu que les arbalétriers piétinaient en haut craignant qu’une de leur flèche ne parte.

"Silence! Je suis seul juge en cette cit, nul ne peux contredire ma parole! Deux Archanges sont là pour s'assurer que je n'abuses pas de mon pouvoir! Qui crois tu être pour oser exiger un nouveau juge? Nos lois m'autorise cette position, ce n'est pas à un elfe de la remettre en cause!"

Si tu est sur que Natalya ne soit plus digne de vivre et qu'elle ne mérite que la mort alors un autre juge pensera comme toi, de quoi as-tu peur archange Oromë? Si elle a commis ces crimes impardonnable alors le changement de juge ne changera pas sa sentence! As-tu peur que la vérité ne refasses surface si tu n'étais pas la pour controler et changer chaques vérité prononcées pour la sauver en mensonge?

Liane souriait méchamment à présent, elle voyait clair dans le jeu de l'archange du combat qui se prétendait encore poing gauche de Dieu.

- Stop ! Taisez-vous dit-il en s'adressant aux autres témoins.

- Ne l'énervont pas, il pourrait très vite s'emporter.

Èlendir n'entendait pas plus loin que le bout de sa main et il s'était rapproché pour parler aux autres.

- Cet archange est plus tétu qu'un touffe d'herbe sauvage et nous ne faisons que tournez en rond. C'est inutile et grotesque... Et si vous avez un peu de bon sens, arrêtons de parler, pour le moment...
- Ne laissez point vos émossions remonter et pensez à ELLE !

Sans prévenir, Èlendir traversa la rembard. Il s'arrêta d'abord pour faire un signe de la main aux arbalétriers et garda ses bras levés pendant qu'il se dirigeait devant le juge. Arrivé devant Oromë, Èlendir les baissa. Il n'y avait que du bruit, des coléreux, des douteux, mais tous cela produisaient du bruit.
Il s'éleva sur la pointe des pieds (car Oromë est plus grand du faite qu'il est sur un auditoire ou un truc comme ça) et s'adressa à Silencieusement à Oromë.

- Je demande en toute légalité, suppension du procès !

Oromë le regarda avec amusement...

"Suspension temporaire, ou définitive, jeune humain? Veux tu juste un ajournement ou veux tu annuler ce procès?"

HRP : youhou...z'êtes morts les gens?/HRP

Èlendir s'agenouilla devant Oromë.

- Juste une suspension temporaire Monsieur le juge. Je ne pourrais me permettre de demander autre chose qu'un ajournement. Je n'oblige pas mais je fais une requête. Suspendez le procès pour quelques temps, juste quelques temps...

Èlendir se releva et jeta un regard à Natalya. Après l'avoir longuement observé il esquisa un sourire. Ce retournant sur l'archange, il le dévisageait, attendant une réponse...

*Qu'était-ce, ces traits sont-ils les siens ?*

"Hmmm...accordé. La scéance est ajournée. Elle reprendra demain à l'aube. Qu'on emmène la déchue dans sa geôle.

Les invités désirent-ils passer la nuit entre nos murs?"

Oromë se leva et contempla Elendir avec un sourire en coin...Il se emandait s'il l'avait impressioné ou juste s'il lui avait fait comprendre que la seule Justice en ces lieux était celle qu'il décidait...

Aéris était heureuse d'entendre que la séance était ajournée, car la tension dans le tribunal était à son comble. Cela permettrai à tout le monde de ce calmer et de pouvoir réfléchir tranquillement . Aéris la première qui s'était un peu emportée lors du jugement. Cependant elle alla s'adresser à Oromë et lui dit :
- Oromë , je vous demande l'autorisation de pouvoir discuter avec ma souveraine. Je n'est nullement l'intention d'établir une stratégie lors de cette visite. Je demande juste à pouvoir m'entretenir avec elle , pour pouvoir parler car cela fait longtemps que je n'ai pu lui adresser la parole.Et je pense qu'en ce moment , un peu de soutien moral ne serait pas mal venu pour Natalya.

Oromë jaugea un moment Aeris...Lui accorder l'entretien pouvait être dangereux...ne pas lui accorder aussi.


"Soit, des gardes t'accompagneront devant ça geôle. Tu devras rester à un mètre d'elle pour être sûr que tu ne tentes de lui passer un quelconque objet. Les gardes resteront aussi pour être sûrs que vous ne tentez de monter un plan pour vous enfuir...chose qui serait stupide étant donné les forces massées dans cette ville."

-Ne vous inquiètez pas pour ça,une idée pareille ne m'a pas éffleuré l'esprit, cela aurait été suicidaire . Je vous remercie pour m'avoir accordé cette faveur.
Elle fit un signe de tête signe de respect. Puis Aéris attendit qu'Oromë donne l'ordre à deux de ses anges pour l'accompagner.

Ce ne furent pas deux mais quatre anges qui encadrèrent Aeris sur un ordre d'Oromë. C'étaient des Ishirides, la garde personnelle d'Oromë. Des tueurs doués, mais aussi des êtres cultivés. Il se montrèrent polis avec celle qu'ils devaient escorter.

"Si les autres invités veulent se joindre à elle, ils le peuvent."