Zora arriva dans une foret des plus noires. Pour rejoindre son bateau, il lui fallait la traverser.

Forêt noires…grmmbl…porte malheur…

Ruminant sur la promesse d’un trésor qu’elle n’avait eu, elle s’enfonça dans les bois. Aussitôt, l’environnement se fit des plus sombre et une douce mélopée s’éleva de la foret.

Comprend pas …y a pas de sirène dans les forêts pourtant !

Curieuse comme l’avait été les marins qui avaient ouvert la jare d’Eole, la pirate voulut savoir d’ou venait cette musique.
Au bout de quelque temps, elle arriva prés d’une chaumière miteuse et délabrée, le chant qui n’avait cessé d’augmenté à son approche prouvait que la source y était. Une main serrée sur le pommeau, elle s’approcha.
Le chat cloué sur la porte lui arracha une grimace de dégoût, où l’ont pouvais aussi déceler de l’effroi.
Donnant un coup de pied sur la porte, celle-ci s’ouvrit a la volée, dévoilant une pièce aux lueurs violettes pleine de bocaux.

Malédiction…malédiction…

La pirate très supersticieuse ne put tout de même pas reculer. Sa curiosité l’entraina à l’intérieur. Il y avait plusieurs sculpture d’une laideur surprenante. Des étranges créatures diformes ou des algues à la couleur inconnue macéraient dans les bocaux. Un immense chaudron était au milieu de la pièce. Dedans bouait un liquide verdatre et malodorant.

Zora resta a une distance apréciable de la soupe verte et regarda dedans. Alors une touffe de cheveux apparut à la surface.

Sacrebleu ! Des canibales !

La pirate se retourna et voulut fuir mais elle fut coupée dans son élan. Une jeune femme à l’étrange beauté se tenait devant la porte fermée.

Par les sept enfers…grogna-t-elle avant de demander sur un ton qui avait perdu toute colère,vous…vous avez l’intention de me servir à souper pour vos amis cannibales ?

Mephalda rit de bon coeur:

Je ne suis pas si cruelle jeune femme.

Elle se dirigea vers son vieux siège à bascule.

Je ne suis pas une cannibale mais comprend que je ne peux te laisser repartir en sachant que tu as un souhait à réaliser. Mon devoir est d'aider ceux qui besoin de moi.

La sorcière attendit un moment sa réponse mais un silence tendu s'installa. Au bout de quelques temps, elle repris:

Alors? quel est ce souhait chère pirate?

La pirate regarda la sorcière éberluée, un souhait? Elle en avait bien... trouver son trésor et devenir la pirate la plus riche de cette terre plate.

Couvrez moi d'or, voila mon souhait. Ou indiquez moi l'emplacement de mon trésor avant que cette Enia, pirate de bas fond, ne le trouve avant moi.

La pirate ne croyait pas aux pouvoirs de la femme mais s'il fallait faire un sohait, c'était celui-là .

La sorcière se leva et alla fouiller dans un de ces placard.

Je ne te couvrirai pas d'or car c'est un vice qui pourrait entrainer nombre de difficuté. Mais par contre... (elle sortit une fiole remplit d'un liquide semblable à du bronze)... cette fiole brille tel de l'or lorsqu'elle se trouve à proximité d'un trésor. Cela t'aidera dans tes recherches mais en échange, je veux... ton joli médaillon...

Draken avait eu du mal à obtenir des informations sur la foret noire. Pressé de retrouver la sorcière mauve (tel était le nom qu’il lui donnait n’ayant pu avoir le vrai), il s’engouffra dans la foret sans savoir sur quel genre de créatures il était susceptible de tombé au déclin du jour. Il s’enfonça entre les arbres et les broussailles ignorant les cris des chouettes et les lointain hurlements de loups.
Déjà il ne voyait plus le ciel et la foret était devenue très sombre. Draken n’y faisait pas attention. Comme tous bon voleur, il était habitué aux foret propices aux embuscades. Il avait déjà combattu des loups épaulé par ses amis et fait d’innombrables victimes sur les sentiers de commerce. Mais hélas, ni « P’tit rat » ni Gros Jean n’étaient avec lui aujourd’hui. Commençant à se demander ce qu’il faisait là, Draken aperçut une longue colonne de fumée à travers les arbres.

-Une habitation ! Cela ne peut être que celle de cette vieille femme !

Draken arriva devant la cabane miteuse. Il prit son courage à deux mains et frappa par trois fois faisant s’envoler deux corbeau perchés sur le toit.

-Ola ! Il y a quelqu’un ? Je cherche une femme ! Une sorcière sans age !

Citation :

mais en échange, je veux... ton joli médaillon...

La pirate regarda la chaine qu'elle portait autour du cou. Elle réfléchit à toute vitesse. Cette médaille pourrait lui revenir cher au marché et il avait un pourvoir qui l'avait...sauvé a la forterresse de Fagor. Néanmoins l'appat du gain était trop fort.

Ok la damoiselle violette! tope la!

Elle tendit la chaine volée sur le cadavre putride et le donna à la magicienne. Elle pris la fiole et s'en alla sans demander son reste.
Elle ouvrit la porte et butta contre un homme de grande carrure.

Dégage de mon chemin pourceau! j'ai fort à faire!

Mephalda regarda la pirate partir, un sourire satisfait aux lèvres. Cette femme ne savais pas que le médaillon qu'elle venait d'abandonner était bien plus précieux que tous les trésors sur terre. Soudain, elle aperçut l'homme.

Je ne m'attendais pas a te revoir de sitôt voleur...

La jeune femme alla mettre le collier dans un coffret en argent ou reposaient d'autre bijoux de grande valeur.

Ne reste pas devant la porte, les bêtes sauvages adorent les chaires tendre qui n'ont pas le gout de la magie.

La belle se remis dans son rokinchair et se balança lentement d'avant en arrière, faisant grincer la chaise.

Allons...entre...continua-t-elle de sa voix envoutante

Draken vit sortir une excitée puis entra dans la maisonnée encouragé par la sorcière. Il ne la quittait plus du regard s'obligeant à suivre les balancements de sa chaise grinçante. Il se posta devant la vieille dame et s'inclina:

-Je ne m'attendais pas à avoir à venir vous dérangez ma bonne Dame. Excusez mon intrusion mais une importante affaire m'a mené jusqu'à vous ce soir. Mon ami que vous avez soigné est de nouveau souffrant. Je ne sais si cela est dut à un de vos sortilèges ou bien à ce gobelin dégénéré qui est passé après votre visite à la Taverne mais cela me préoccupe au plus haut point. Ses yeux sont vides et son teint est d'une mortelle pâleur. Il n'a aucune fièvre mais ce gobelin m'a assez agacé avec ses prédictions de folies pour que je sois inquiet. Je viens donc vous demandez une nouvelle fois votre aide. Viendriez-vous de nouveau jusqu'à la Taverne de Briskel avec moi ? Si vous voulez être payée pour vos soins, vous le serez amplement.
Acceptez-vous de m'aider ?

Draken attendit une réponse affichant un air calme et chevaleresque.

Mephalda regarda l'homme un sourire aux lèvres:

Soit sur que ma magie n'est pas la source de ce malheur voleur. Les yeux vide et le teint pareil à un mort...

La sorcière éclata d'un rire sympathique:

De la poudre de core de pied! J'ai ce qu'il faut, ton ami survivra mais il risquera de sentir les pieds de gobelins durant un petit moment.

Un étrange petit hamster passa devant le voleur et sauta sur les étagères. Il attrapa une petite boite sur laquelle était écrit " poudre de verrues séchées. L'animal l'agrippa et rejoint sa maitresse.
Mephalda prit la boite et l'ouvrit.

Il m'en reste juste assé, tu n'es pas le seul à avoir eu ce problème, une vague de gobelin frippon s'amuse à en souffler sur n'importe qui en ce moment.

Se levant, la sorcière continua:

Tu connais la politique de la maison! je veux que tu me rendes service en échange de ce bien.

La sorcière agrippa le voleur part la manche de sa chemise et l'emmena jusqu'a une petite porte faisant la moitié de sa hauteur. Lorsque le voleur la passa, il se retrouva dans une immense salle faisant prés de 500 mètres de longeurs. Des étagères le sillonaient en tous sens, remplies d'être et d'objets encore plus bizarre que dans l'autre pièce.

Mon débarras n'a pas était nettoyé depuis longtemps, je veux que tu m'y fasse la poussière. Ne t'en fais pas, je sais que tu es pressé mais les heures que tu passeras ici ne seront que seconde à l'extèrieur. Et ne vol rien, si tu le fait, je le saurais et je risquerai de te maudir .

La vieille femme lui fit un grand sourire attendant sa réponse.

-Je ne...

Draken se demandait si la sorcière ne se moquait pas de lui.

-Vous vous rendez compte de la tache que vous me confiez ? Je préfèrerais à avoir à combattre ce fouttu gobelin qu'à m'user à faire les poussières dans votre bicoque !

Draken retourna dans la première pièce et s'assit dans le fauteuil de la vieille femme les bras croisés.

-Trouvez-moi quelque chose de moins humiliant ou je me débrouillerais seul. Si vous souhaitez de l'or, j'en possède une montagne. Si vous souhaitez un nouveau baiser, je vous en donnerai un nouveau. Mais si vous voulez que je fasse votre ménage, il faudra d'abord m'ensorceler.

Citation :

Mais si vous voulez que je fasse votre ménage, il faudra d'abord m'ensorceler.

Les yeux de Mephalda laissèrent transparaitre l'espace d'une seconde une lueure coquine.

A ta guise mon mignon....

Une force irrésistible fit se lever draken du rockinchair. L'homme fit quelque pas et se mit a danser des claquettes sous les rires de la vieille femme qui avait repris sa place dans le fauteuil à bascule. Le voleur de s'arréta pas de danser et Mephalda s'exclama:

Tu vois qu'il m'est facile de t'envouter pour faire quelque chose de plus humiliant. Je me suis lassée de tes baisers et sans vouloir te vexer, j'ai connu bien mieu. Maintenant écoute moi bien voleur car je ne le répèterais pas (Mephalda avait pris une expression sérieuse): Mes conditions sont mes conditions, va à l'encontre et tu n'aurais pas le moindre petit grain de cette poudre. Je suis la seule a avoir celle-ci sur tout Nelendark alors si tu veux sauver ton ami il faudra faire ce que je te dit. C'est le ménage de ma pièce, ou rien. Soit encore heureux que je ne te demande pas de faire de même pour mon grenier.

Les claquettes s'arrétèrent.

Alors?

Draken s'appuya un moment sur une étagère remplie de bocaux étranges et visqueux. Il reprit ses esprits et sourit:

-...très bien, je vais faire ton petit ménage...

Il se pencha devant Mephalda en s'appuyant sur les accoudoirs de son rocking-chair.

-Mais je te préviens, sortilèges ou pas, si ta poudre d'escampette ne fonctionne pas, je reviendrais te rendre visite...

Sur ce, Draken saisit un torchon près de la marmite de la sorcière et retourna dans l'immense pièce poussiéreuse. Il commença alors son ouvrage...

*Eh beh…coriace la mémé*

Riant un instant, Mephalda se remit à la tache. Préparer une potion de sommeil éternel était une tache rude et elle ne le faisait qu'une fois l'an pour renouveler ses stocks alors elle n'avait pas intérét à la louper. Crachant dans le chaudron, la potion vira au rouge.

Remuons cinq fois
D'un mort il me faut le doigt
Remuons dix fois
Pour que les corps soit submergé de froid.

La sorcière tourna autour de son chaudron pendant que sa nouvelle soubrette s'attelait à la tache.

Citation :

D'un mort il me faut le doigt

Draken fit une grimace puis passa la tête dans l'encadrement de la porte.

-Heu...ça vous ennuierait de penser au lieu de parler ? Non c'est pas que votre voix soit criarde ou même digne d'une harpie, c'est juste que si vous voulez que vos étagères soient propres, évitez de me donner envie de vomir dessus...

Avec un grand sourire volontairement idiot, Draken redisparu dans la pièce pour continuer sa tache.

La sorcière ria de bon coeur.

Ne t'en fait pas voleur, il me faut maintenant laisser reposer cette mixture.

Mephalda alla vers une petite armoire fermée à double tour et en sortit plusieurs fioles vides qu'elle disposa sur une table. Lorsque sa surface fut totalement recouverte de récipient, elle retourna s'asseoir dans son fauteuil et entonna une petite chanson, berceuse que nombre de mère avaient chantés à leurs enfants.
Le petit hamster vint se blottir sur ses jambes et s'endormit.
Mephalda glissa quelques paroles destinées au voleur dans sa chanson.

Et que ça brille et que ça brille
Sinon a la potion tu pourras dire au revoir
et que ça brille et que ça brille
Dans les fioles je veux pouvoir me voir...

Puis elle repris les douces paroles habituelles.

Cela faisait maintenant plus de quatre heures que Draken trimait. La poussière était si épaisse sur les étagères que par moment il éternuait bruyamment. Heureusement il était habile et il n'avait fait encore tomber aucune fiole. Son attention fut soudainement attirée par un petit coffret vert émeraude. Draken s'en approcha. Il était entouré d'un filament d'argent et une ou deux pierres précieuses étaient enchâssées sur le devant. L'homme ouvrit le coffret et y découvrit un petit objet étrange. A première vu, on pourrait supposer que c'est une flûte d'or miniature mais Draken l'ayant pris dans ses mains vit que c'était une petite créature séchée.

-HA !

Il rattrapa de justesse la bestiole ( -ouf...) et la remis dans son coffret. Il transpirait à grosses gouttes et cette chose lui avait donné chaud.
Après avoir remit le coffret à sa place initiale, il passa de nouveau la tête dans l'encadrement de la porte.

-Puis-je m'arrêter quelques tours de sabliers afin de me rafraîchir un peu ? Et puis si vous me disiez votre nom ?

Citation :

-Puis-je m'arrêter quelques tours de sabliers afin de me rafraîchir un peu ? Et puis si vous me disiez votre nom ?

Cela ne faisait que quatre minutes lorsque que l'homme sortit sa tête dans l'entrebaillement de la porte. Mephalda arréta de se balancer, se leva et lui dit:

Je te l'accorde, mais reste dans l'autre pièce sinon le temps reprendra son cour normal et ton ami attendra plus longtemps.

Faisant un grand sourire, elle lui demanda:

Veux-tu gouter à ma mixture verte?

Une mouche qui traversa la vapeur verte qui sortait du chaudron tomba sans un bruit. La sorcière rigola et alla prés des étagères. Elle pris une teillière à la forme suspecte et prononça une petite formule. Aussitôt, on entendit boullir le liquide ui était à l'intérieur. Mephalda s'approcha de la porte d'ou la tête de barbare sortait, donnant l'impression de ne pas avoir de corps.

Puis-je passer?

-Non.

Draken ne s'écarta pas de l'entrée de la pièce.

-C'est mon coin.

Lorsqu'il vit la tete de la sorcière, il rit et recula dans la pièce en s'inclinant.

-Bienvenu dans l'humble pièce objet de mes tortures...Si vous voulez prendre le thée c'est par là !

Draken sourit à Mephalda.

Mephalda entra dans la pièce et lacha la théillière et les tasses qui volèrent tous seul. Le thé se versa dans chacune des tasses. La sorcière s'assit à terre et attrapa sa tasse et commença a boire. Son apparence changea peu à peu pour se transformer en la belle jeune fille que Draken avait déjà vu.

Alors voleur? qu'attends-tu pour boire? ne t'en fais ps il n'est pas empoisonné, ce ne serais pas dans mon intérét de tuer celui qui fait le ménage que j'aurai dût faire depuis dix ans.

La sorcière ria avant de reboire une gorgée. Elle repris plus sérieusement:

Tu tentes de cacher quelque chose n'est-ce pas? Tu cache ta véritable personnalité sous le masque du voleur et dragueur, pourquoi?

Draken s'assit sur un coffre en bois déjà dépoussiéré contenant des vieux parchemins et quelques ossements (Draken n'avait pas hésité à regarder dedans). Il sourit au changement de visage de la sorcière: elle était belle jeune et fraiche...tout le contraire de son véritable aspect. Il pris la tasse que lui tendait la sorcière et observa un moment le liquide ou plutot le truc gluant qu'il y avait dedans et bu une gorgée.

Citation :

Tu tentes de cacher quelque chose n'est-ce pas? Tu cache ta véritable personnalité sous le masque du voleur et dragueur, pourquoi?

Le voleur faillit renverser du liquide par terre. Il sourit brièvement...

-Dragueur ?

...puis devint grave les sourcils fronçés...

- Qui je suis et ce que je viens faire ici ne vous regarde pas. Vous savez que je suis un voleur, contentez-vous de cela. Que vous servirait-il d'en savoir plus ?

La sorcière retrouva son sourire:

A ta guise voleur.

Elle finit sa tasse puis se leva et alla voir ce que le voleur avait déjà dépoussièré. Et pourquoi ne pas remettre une couche de poussière lorsqu'il aurait le dos tourné? ce serait vraiment méchant mais tellement amusant!
La sorcière attrapa une fiole située a un mètre plus haut que sa tête, l'ouvrit et la fit inhaler au voleur. Cette potion était censé faire eternuer quiquonque la respirait.

La sorcière ria encore et alla ouvrir la porte.

Dépèche toi de te deshaltéré voleur.

Puis elle sortit et versa lle contenu dans son chaudron.

Draken recula lorsque la sorcière lui mis sous le nez sa poudre étrange. Il la laissa sortir puis éternua comme un diable renversant sa tasse sur le coffre.

-Malédiction !

L'homme remis la tasse sur pieds puis constata que le coffre était devenu plus sombre.

-Je vais devoir m'y remettre...pour "P'tit Rat " !

Draken laissa la tasse et le coffre tels quels et continua son petit ménage de colosse. Au bout d'un moment, son regard se trouva par hasard près du coffre et il vit alors que des petits champignons verdâtres y poussaient en nombre.

-He ? Mais qu'est-ce donc encore que ceci ?

Il pris un ustensile qui traînait sur une étagère à sa portée et entrepris de retirer les champignons. Ils étaient durs comme du bois et Draken sortit son katar.

CLANG

-Que le sang de mes ancêtres fasse trois tours de mon bras ! Ils sont incassables !

Réitérant son attaque, Draken ne réussi pas à entamer les champignons. Le labeur lui pris bien vite sa patience et il jura d'avoir leur peau après avoir finit le dépoussiérage de la pièce...

Méphalda entra à nouveau dans la pièce. Cela devait faire cinq secondes qu'elle avait laissé le voleur mais pour lui cela devait bien faire cinq heures.

Alors? as-tu finit??

La sorcière, sous les traits d'une vieille femme, s'avança vers les premières étagères et passa le doigt sur l'une d'entre elle. Il n'y avait pas de poussière. Mephalda sourit.
Elle parla plus fort, de sorte que meme si l'homme étit à l'autre bout de l'immense pièce, il puisse l'entendre:

Tu fais une trés bonne femme de ménage! tu viens de prouver que les hommes peuvent servir! félicitations!

La sorcière regarda l'étagère et fut étonné de retrouver des ingrédients dans les bocaux, translucides, à présent otés de toute poussières, qu'elle croyait perdus. Un peu de ménage de temps en temps peut-être bénéfique aprés tous...