(suite de "l'équipement d'Elendir" )


Oromë pénétra dans la salle, vêtu de son armure, de ses armes, suivi de son compagnon, Elendir.

il devait retrouver, selon ses propres directives, en ces lieux Leïla, pour partir ensemble à la guerre...




(oui, c'est court, mais le but est de lancer le topic)

"Il va falloir nous déplacer, et vite. La téléportation dans un lieu que je ne connais pas est dangereuse. Et si je suis capable de voler vite, je ne suis que peu de chose dans cette chair mortelle face à un Dragon...

Aussi, nous allons bientôt voler à dos de saurien..."

Oromë eut un sourire. Depuis le temps qu'elle attendait dans la tour, elle devait avoir plus que hâte de se dégourdir les ailes.
L'Archange s'installa sur son trône, l'épée sur le côté. La guerre avait commencé mais pourtant, il ne semblait rien faire pour vouloir la rejoindre immédiatement.

Leïla se précipitait vers la salle du trône à tire d'aile lorsqu'elle vit un écureuil chevauché d'une éspèce de lutin. Bien que ce dernier était innofensif, elle ne put s'empêcher de le pourchasser pour le tuer. C'est pourquoi elle arriva quelque peut en retard.

Elle frappa deux fois à la porte et entra.
Se mettant à genoux, elle dit:
-Seigneur, vous m'avez fait demander?

Malgré sa révérence, Leïla restait digne et fière. Seul son corps se penchait ses ailes, toujours droites montrait à quel point l'Archange était orgueilleuse. Leïla portait toujours sa longue toge blanche qui lui recouvrait son corps, dissimulant son épée de feu, devenue étrangement noire...

Oromë accueillit l'Archange.

"Relève toi, fidèle. La guerre a déjà commencé, et je veux être au plus vite sur le terrain. J'ai une surprise pour vous."

L'Archange traversa la salle et se diriga vers un escalier en colimaçon qui montait vers les heuteurs de la tour. Il s'arrêta devant une porte qu'il ouvrit : Les quatre êtres sortirent à l'air libres. Ils étaient sur l'une des terrasses de la citadelle.
Oromë les emmena dans un long dédales de couloirs, d'escaliers qui toujours montaient, de terrasses, de passages obscurs jusqu'à ce qu'ils arrivent à l'avant dernier niveau de la citaelle. Là, les gardes étaient très nombreux et parmi les mieux entrainés des anges disponibles - hors des Ishirides eux-même.

Là, Oromë ouvrit une porte de taille respectables, mais bizarrement épaisse. A l'intérieur, un ange courut à sa rencontre.

"Elle est prête, seigneur, harnacher pour transporte une escouades complète.
-Très bien, nous partons tout de suite."

L'ange fit signe de le suivre et les mena dans une sorte de hangar. Et là, ce que virent ses compagnons leur coupa le souffle un moment. Une gigantesque dragonne, plus grande que tout ce qu'il avait pu être donné de voir jusqu'ici se tenait allongée sur le ventre, les pattes le long du corps, attendant qu'on lui ordonne de s'envoller. Sa robe n'était pas chromatique ou métallqiue comme tous les dragons : elle était ondoyante, tantôt rouge, bleue, blanche, verte, noire, argentée, dorée, cuivrée de bronze ou d'airain...

"Il m'a fallut trois siècles pour sélectionner les meilleurs dragons, pour les faire se reproduire entre eux, pour finalement obtenir cette créature. Elle est un concentré de dragon, une machine de guerre indestuctible : elle résiste au feu, au froid, à l'acide, à la foudre, à la magie et aux armes - du moins à tout ce qu'un être commun pourrait tenté...

je ne vois que les meilleurs guerriers des plus puissantes races telle que celle des Archanges pour pouvoir la vaincre. A condition qu'ils se mettent à pleusieurs centaines pour cela... Et qu'il ne compte pas les pertes.

Nos ennemis ne pourront rien faire contre elle. Et si des Dragons avaient la mauvaise idée de se joindre à nos ennemis... un Grand Dacrosire d'Or, le plus puissant des dragons, paraitrait nain à ses côté, car elle est trois fois plus imposante."

Ce faisant, l'Archange avait commencé à voler autour d'elle, il lui caressa le museau (ou une infime partie de celui-ci, car il aurait pu se tenir trois fois en hauteur pour joindre les deux côtés d'un seul des naseaux.

"Son seul défaut est la difficultés d'obtenir un tel être et qu'elle ne peut se reproduire..."

Des échelles de cordes furent lancées pour l'humain et son camarade. Ils montèrent en haut. Des sièges installés les longs des immenses piquants sur le dos du monstre avaient été amménagés.

"Qu'en pensez vous?"

[HRP] : Dsl pour la qualité du poste, je préfère aller vite pour vite arriver sur le champs.

Les portes de la salle du trône résonnèrent deux fois avant de laisser rentrer Leïla. D'un geste lourd, les portes se refermèrent, engloutissant avec elles, tout bruit extérieur.
L'ange s'envola, se précipita puis se posa devant Oromë.
Tandis qu'Èlendir était resté dans un coin retranché de la pièce, caressant d'une douce folie son plus fidèle ami, Leïla s'était courbée. Dans une digne révérence que même les plus grand Rois n'auraient pu supporter, elle s'adressa à lui :

Citation :

- Seigneur, vous m'avez fait demander ?

De sombres flammes miroitaient sur le tranchant de sa lame, trahissant l'état de son esprit...

Citation :

- Relève toi, fidèle. La guerre a déjà commencé, et je veux être au plus vite sur le terrain. J'ai une surprise pour vous.

- Enfin !

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Le hangar était immense, mais rien d'autre que la dragonne ne pouvait attirer leur regard. Elle était passionément grande et infiniment terrifiante...

Citation :

Qu'en pensez vous?

Èlendir resta silencieux un moment, se concentra sur ce qu'il allait bien pouvoir dire sur une telle créature. Il regarda Slike un instant avant de s'assoeir sur un par-terre vivant.

* Magnifique *

Leïla se retenait pour ne pas exploser d'impatience. Les couloirs lui paraissaient sans fins.
Lorsqu'elle arriva devant la porte de l'immense hangar elle se posa de multiples questions mais rien sûr son visage de trahissait son émotion.

C'est alorsqu'elle apperçut la dragonne, paisiblement allongée. Sa vision lui coupa le souffle.

Ses yeux s'agrandirent étrangement, son iris devint aussi noir que sa pupille, ils roulèrent dans leurs orbites et l'iris pris la place de tout son oeil devenant rouge sang, où seul tremblait, telle une flamme noire ébène, la pupille.
Son sourire s'élargit et ses dents devinrent étrangement pointue...

Citation :

"Qu'en pensez vous?"

Leïla répondit:
-Diaboliquement...parfaite...

Elle ne parvenait pas à détacher ses yeux de la dragonne...