Les morts n'étant pas trop décidés à obéir, l'Archange tendit les mains, un sourire aux lèvres.

"Tori N'Ergath*"

Alors des langues enflammés sortirent de ses paumes. Si elles ne tuaient les morts, elle les forçaient à reculer.

"On ne quitte pas les Limbes, j'ai autre chose à y faire. Toi, ion te rend ton âme, et toi tu repars. Mais Elendir et moi, on reste."

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*Que souffle le Démon

Èlendir tendis la chose à Katarn. Son âme se mouvait tel un vermisseaux à qui la vie n'avait plus d'importance.

- Tu es damné quoi que tu fasse mon brave. Reprends ton chemin ! Je ne puis te dire pourquoi Oromë ma emené ici mais j'y sens quelque chose qui m'attire, comme l'appel de l'eternel........

- Archange ! C'est notre heure ! Je te suis...

Katarn reprit son dû,puis il regarda Elendir et éclata de rire,"Vous me faites rire tous les deux,bon cher Ange où dois je aller pour ta chère mission ?"

"Où tu veux, Katarn, sauf en ma cité, trouve toutes les personnes que tu pourras, dis leur que j'ai besoin d'eux pour lutter contre le Reine. S'ils ne veulent pas, force les. Je n'ai pas besoin de volontaires, j'ai besoin d'otages..."

L'Archange eut un sourire assez peu angélique.

"Viens, Elendir, quelqu'un nous attend"

L'Archange commença à s'enfoncer dans les brumes. Les morts n'osaient plus se mettre sur son chemin, de peur de perdre le seblant de vie qu'il leur restait.

- Quelqu'un nous attends ?!

En s'avancant prudement dans la burme, l'alchimiste réfléchissait à ce qui pouvait bien les attendre dans ces lieux.

Etourdi par l'apparition de Claudia, Èlendir avait sentit juste à cette instant une force qui l'attirait...

L'Archange se tut et progressa dans les volutes de vapeurs, s'assurant seulement que l'homme le suivaient bien... Il sentait l'énergie battre comme un coeur, au lieu où ils allaient. L'Archange savait que ce ne serait pas forcément facile, mais s'il réussisisait, le pouvoir de son nouveau disciple augmenteraient sensiblement.

Ce que les deux hommes virent, les mots ne peuvent tout décrire : c'étaient des âmes, des morts et des créatures disparues, des paysages incroyablement différents.

Puis les brumes se dissipèrent pour dévoiler une chaussée de pierre grises, céllée dans le sol par de la lave séchée. Le chemin passait au sommet d'une crète, qui tombait abruptement de chaque côté dans des bains de magma en fusion...

"Hum, j'aime cette odeur...ça me rappelle une descente des Fléaux Divins en Enfer."

Sur ces mots Katarn quitta les deux illuberlus et s'en alla trouver une personne assez puissante ^pour l'aider....

Les lieux explorés n’inspiraient aucune confiance à Èlendir. Il était décontenancé par l’endroit, dérouté par cette atmosphère… Les fumées noires des torches virevoltaient tant devant lui que dans son esprit. La chaleur de son corps faisait couler des gouttes de sueurs sur son front. Il s’essuya un instant avant de voir apparaître devant lui une porte gigantesque. Il était conscient d’être l’un des rares à avoir pénétré en ces lieux.

Les puissances qui gouvernaient ici semblaient dépasser celle d’Oromë. Pour la première fois, en présence de l’archange, il éprouvait de la peur.

- Oromë est-tu sûr de ce que tu veux faire ?!

En voyant le grand lézard armé d’une lance qui dépassait tout ce qu’il avait déjà vu, Èlendir se tordit de peur. Mais ce qui attira son attention fut le casque que portait le gardien : il était d’une magnificence et l’alchimiste sentait en lui l’écho d’une puissance jusque là inconnu…

L'Archange restait à distances respectables du géant guerrier, qui s'était mis sur la défensive à l'approche des êtres.

"Pourquoi douterais-je? Je suis tout-puissant, nul ne peut s'opposer à ma volonté."

L'Archange s'avança vers l'être et dressa sa main vers le gardien.

"Révèle ta nature!"

Alors le lézard se brouilla, alors que le sort qui lui donnait cette apparence disparaissait. Alors se trouvait un géant, non moins dangereux que le lézard, surtout lorsqu'il révèla son identité :

"Je suis Kri-stoa, dieu déchu de la peuplades des Vircks. Je suis le gardien maudit selon la volonté du Très-haut de cette porte adamantine. Rebrousse chemin, ou péris.
-Je SUIS le Très-Haut! Je suis venu prendre ce que je t'ai remis il y a longtemps. Remets moi ton casque.
-Lorsque Dieu me le remis, il me condamna à garder éternellement cette porte. Et le casque qu'il me remit alors est le symbole de ce servage. Aussi éternellement que je suis le gardien de cette porte, ce casque sera éternellement mien."

L'Archange se tourna vers Elendir...

"Tu vois, c'est le problème de s'incarner dans un corps mortel : on ne me reconnait plus..."

Aux paroles d'Oromë, le lézard géant se deforma. Il révéla une forme moins noble mais tout aussi imposante que la précédente.

Citation :

Je suis Kri-stoa, dieu déchu de la peuplades des Vircks

Comment Oromë voulait-il affronter cette chose, cette divinité qui pouvait les écraser d'un coup ?! Même déchu elle serait puissante !
Èlendir se sentit soudain plus fort à côté de l'archange. Il était sur de lui et ce n'était pas sans raison.

Citation :

Tu vois, c'est le problème de s'incarner dans un corps mortel : on ne me reconnait plus...

L'alchimiste compris non sans mal qu'ils étaient venus récupérer ce casque, qui ne cessait d'éblouir de par sa beauté la vue d'Èlendir.

- Je ne sais pas vraiment pourquoi tu veux ce casque, mais fais vite, cette endroit ne m'inspire point confiance... Je me sens désarcené ici...

HRP : désolé, j'ai un peu oublié ce forum ces derniers temps./HRP

L'Archange observait son ennemi... Le genre d'adversaire qui ne peut vraiment être vaincu... Même par lui, incarnation terrestre de Dieu... Lentement, il tira son glaive, sachant que cette amre ne pourrait que blesser le géant, mais jamais le tuer...

"Faire vite? Je voudrais bien, mais vois-tu, je n'ai plus le souvenir de la façon dont je l'ai asservis. Voici l'autre problème d'être Dieu et de s'incarner dans un corps mortel : celui-ci ne peut engrangée ma mémoire millénaire..."

"Je me rappelle l'un des premiers cours de mon vieux maître, Borg, qui vit en ma lame. Il disait :
"

Que fais tu si un ennemi ne peut être vaincu par ta lame?
-Je le tue par ma magie!
-Mais si ta magie est inneficace?
-Je le tue par l'esprit!
-Mais si un assaut psychique est inneficace?
-Maître, un tel monstre ne peut être vaincu!
-Crois tu? Je l'ai fait, pour Dieu, j'ai tué ceux qui se croyaient invincible. Mais pour cela tu dois concentrer beaucoup de toi-même dans un assaut unique et regrouper en une les trois formes de combat. Mais saches que tu perdres beaucoup de toit même.

Oromë se raidit un moment puis se força au calme. Un calme physique, psychique... Il laissa aller ses bras le long de son corps, la pointe de son glaive toucha le sol. L'Archange ferma les yeux, prit un longue inspiration. Auour de lui, l'air semblait se mouvoir en spirale, encore légèrement mais gagnant de la force. la Lame sembla se troubler un moment comme si elle n'était d'acier rigide. L'Archange prépaprait son assaut. Un coup, il n'aurait pas le droit à plus.

Sans un cri, il partit soudain en courant. Trois formes d'assauts concentrées en une seule. Oromë à comprit. Il vide une bonne partie de son esprit dans sa lame, et y engouffres sa magie à la suite. La lame se nimbe alors de flammes bleues sombres, presque noires.

La lame frappe. Pour Oromë, c'est un caléidoscope : avec la bessure, son esprit s'est rué sur celui de son ennemi, comme si celui n'avait aucune barrière psychique. ALors comme dans ce genre de cas, on pille cet esprit, on détruit ses réflexes, ses capacités physiques, et surtout, on trouve là où son cerveau fait battre son coeur... Et cet enculé n'en a pas...

Un instant de peur. Les barrières psychiques semblent se former. Le reste de l'esprit en fait vient de partir à l'assaut de manière classique, mais se retrouve bloquée par les puissantes barrières mentales de l'adversaire. Mais la partie déjà dans son esprit pille tellement ce misérable cerveau divin qu'il en détruit d'un coup toutes les défenses, le reste de l'esprit se rue pour la mise à sac. Quelle joie ennivrante que de détruire le cerveau d'un Dieu déchu! L'horreur.

Oromë sent que son corps bouge s'en lui, mais il ne s'en préoccupe pas, tout absorbé qu'il est dans ce spectacle magnifique de destruction. Un spectacle que si peu de gens peuvent voir. S'il controlait son corps il en pleurerait.

Lorsqu'il ne reste plus rien, l'esprit se rétire du cerveau anéanti et réintègre le corps de l'Archange. Alors Oromë comprend pourquoi le géant n'a pu se défendre : le bras du Poing de Dieu portant le glaive est enfoncé presque jusqu'à l'épaule dans la poitrine de Kri-stoa, de l'autre main, portant un poignard, l'Archange lui a déchiré la face... Pas vraiment du travail propre. La magie aussi a laissé ses traces : une partie de corps est carbonisée, une autre partie gelée... Le visage - là où il n'est pas lasséré - s'était couvert de pustule duent à une maladie magique. L'horreur.

L'Archange retira son bras du corps mort de son ennemi, essuya ses lames pour les remmetre au fourreau... L'horreur. De ses mains ensenglanté, il retire le casque du géant. Immédiatement, ce heaume prend une taille plus adaptée à l'Archange. Oromë se dirige d'un pas tranquille vers Elendir. Dans les yeux de l'être divin courent les flammes de la folie.

"Elendir, je te remet ce casque, il démultipliera tes pouvoirs magiques. Mais sache qu'il entraîne une totale dépendance envers moi, Dieu. Es-tu prêt à le recevoir de mes mains? Acceptes-tu avec plaisir ce servage que je te propose?"

Èlendir s'était tenu dans une position dont les gestes trahissaient sa peur. Désarmé mais sur ses gardes, malgré la présence de l'Archange, il n'arrivait pas à rester calme.

Pour cause, Kri-stoa restait impassible face à Oromë, sur de sa force et de sa puissance, droit et fier, tel un pilier qui soutien le ciel.

* Nous sommes deux et Oromë est un Archange. Comment ce Dieu déchu n'éprouve t-il même pas un soupçon de crainte ? Comment fait-il pour rester fier face au poing gauche de Dieu ? *

Aux paroles d'Èlendir, l'Archange répondit ceci :

Citation :

Faire vite? Je voudrais bien, mais vois-tu, je n'ai plus le souvenir de la façon dont je l'ai asservis. Voici l'autre problème d'être Dieu et de s'incarner dans un corps mortel : celui-ci ne peut engrangée ma mémoire millénaire...

Un instant, l'alchimiste faillit s'étouffer après l'avoir entendu. Un long silence régna dans les lieux.

Le géant était toujours droit et fier, Èlendir semblait plus appeuré que jamais et Oromë resta dans une position de méditation.

Èlendir sentait déjà le mécanisme de sa bouche s'actioner pour produire un son, un mot puis une phrase. Elle était déjà sortit de son esprit et ses lèvres ne tarderaient pas à bouger.

* TU ES FOU OROME !!! *

Mais avant qu'il n'eut le temps de parler l'alchimiste ressentit une force dans l'air.

Oromë le bougeait plus et sa lame grattait le sol. L'air tourbillonait autour de lui, faisant graviter les éléments instables de la roche (le sol est rocailleux). La puissance montait en lui comme la colère grimpe en l'homme.
Soudain Èlendir ressentit l'esprit de l'Archange. Il était immense et pourvu d'une énergie incomparable.
L'Alchimiste se sentit petit à côté de lui. Doucement il reprenait confiance.
Ce déchaînement d'énergie devenait horrifiant.

* Quelle puissance *

La lame s'embrasa d'un feu bleuté, puis il lança son attaque. Sur un cours instant, d'une furie meutrière, Oromë vînt à bout de Kri-stoadieu déchu de la peuplades des Vircks.

Le spectacle était d'une beauté horrifiante. Oromë s'était littéralement jetté sur son adversaire, le tuant dans d'atroces souffrances, même si la mort fut rapide.

Citation :

De ses mains ensenglantées, il retire le casque du géant. Immédiatement, ce heaume prend une taille plus adaptée à l'Archange. Oromë se dirige d'un pas tranquille vers Elendir. Dans les yeux de l'être divin courent les flammes de la folie.

Quand Oromë fut à la hauteur de l'achimiste, ce dernier observa une certaine folie dans ses yeux. Toutes les peurs qu'il avait eut jusqu'ici, s'était estompées.... à jamais.....

Citation :

Elendir, je te remet ce casque, il démultipliera tes pouvoirs magiques. Mais sache qu'il entraîne une totale dépendance envers moi, Dieu. Es-tu prêt à le recevoir de mes mains? Acceptes-tu avec plaisir ce servage que je te propose?

D'un geste lent, Èlendir s'agenouilla aux pieds d'Oromë. Un seul mot sortit de sa bouche, après que ses lèvres se soient dressées d'un sourire malicieux.

- Oui !

Lentement, l'Archange posa le casque sur la tête d'Elendir. Tant de pouvoir en un seul objet. Parfois, être Dieu faisait faire des choix étrange. Créer ce casque. Le donné à un dieu déchu... et aujourd'hui à cet homme. Mais au moins, lui serait fidèle... Du moins un instant. Oromë finissait de poser le casque quand le noir se fit en son esprit.

En lui, la lutte avait repris...le Bien se relançait à l'assaut du Mal avec une vigueur nouvelle, et dans son esprit, Oromë se retrouva face à la créature... Il devait empêcher ce qui se faisait, car cela était un péché horrible.

"Stoppes cette infamie, monstre. Retires toi, je te l'ordonnes!
-Pourtant n'est-ce pas toi qui agit, Oromë? Je ne fais rien, je ne guide même pas tes actes. Je ne fais que t'insuffler la force à ton corps. Regarde, grâce à moi, ton poing est aussi fort que celui de Dieu! Tu as tué celui que Dieu n'avait pu que mettre en servage!
-Cesse de blasphémer, je veux que tu me rendes mon corps!
-Mais ce n'est pas moi qui te retiens, c'est toi-même, regarde..."

Devant cet Oromë specrtal, vêtu de son armure dorée, portant le Glaive sacré et pourvu de tous les attributs du Bien : l'auréole d'or, l'aura le Lumière et le regard plein de bonté apparut un autre Archange du Combat, vêtu d'une armure noire, hérissée de pointes, une hache bicéphale tenue à deux mains, portant des cornes sous son auréole grise, les yeux injectés de sang et l'aura vibrant d'une haine démoniaque.

L'Archange fixa le Démon dans les yeux...

"Alors cela se règlera comme toujours. L'arme au poing."

L'autre ne répondit rien, mais dressa sa hache et chargea. Oromë contra de sa lame, voulut frapper de taille, mais l'Oromë démoniaque para du bras et abatit sa hache ...Combien de fois avait-il déjà combattu et perdu ainsi, contre ce lui démoniaque...Dans son esprit, la lutte était termniée.

Le casque finit de se poser sur le crâne d'Elendir, scellant le nouveau pouvoir de celui-ci.

Èlendir comprit qu’il recevait un présent du ciel, plus précieux que certaine vies sur terre. Il allait avoir la puissance, la force et pouvoir. Il serait un homme aux forces ultimes. Déjà, son cœur commençait à battre fort, de plus en plus fort. Il sentait le sang circuler à une vitesse dévastatrice dans ces veines. Rien n’avait été comparable à cela, rien n’avait été plus jouissif que cette sensation de supériorité.
Juste avant que le casque ne soit posé sur sa tête, Èlendir se souvînt avec quel acharnement le géant avait résisté à Oromë. Ce dernier avait été sous l’emprise total du masque et pourtant son maître s’était trouvé devant.
La masque piétina sa peau. Èlendir avait l’impression que des crochets, situés sur le masque voulait fusionner avec son visage. D’un coup, il fut projeté au sol, par une force invisible. Son dos fut l’acéré de douleur tandis et craquela sous la puissance du choc. A présent il ne voyait plus rien, ni même l’archange. Les forces autour de lui, sombraient peu à peu dans le noir, se refermant sur lui comme la barrière du monde des vivants. Soudain il se rendit compte qu’il ne pourrait plus être le même après avoir mis le heaume.

* Non pas maintenant *

Èlendir voulait la revoir une dernière fois, il voulait revoir celle qui l’avait sauvée à Atlantide. Il voulait voir ses anciens amis, face à lui, prêt à livrer un bataille, dans un combat qui les conduirait sûrement aux portes de la mort. Il voulait être lui-même pour dire à Slike combien il l’aimait, il voulait être lui-même pour dire à Oromë combien il le respectait, il voulait à nouveau sentir l’excitation qu’on a avant la bataille.

* Resiste Èlendir, bats-toi !!! *

Lentement, avec sur son dos le poids de la terre, l’alchimiste se releva avec peine. Il semblait vouloir combattre les ténèbres qui s’emparaient de son être. Ainsi la lumière regagna du terrain. Mais le heaume était puissant : l’archange y avait mit une puissance de contrôle presque irréversible. A cette instant là, Èlendir ne pensa qu’a une seule chose : Natalya…

* Je veux la revoir !!!! *

- ARRHHHHHHHHH !!!!!!

Comme d’un éclair, la lumière transperça son être et battit les ténèbres. Le heaume tomba au sol dans un bruit presque noble. Une lumière s’en dégagea. Èlendir avait eu de la chance : une seconde de plus et son souhait n’aurait pu être réalisé…

- Oromë, accorde moi cette faveur, accorde moi le droit de voir mes ennemis devant ma puissance !

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A des milliers de kilomètre plus loin, sur terre, l’armée de l’archange était presque prête. On attendait plus que la venu du messie, le sauveur de la religion sur terre : Oromë.
Les anges avaient confiance en l’archange, rien ni même personne ne pourrait ébranler cette confiance. Les rangs angéliques n’étaient pas aussi nombreux que ceux de Natalya mais leur n’était que plus grande…
Une grande tâche noire se déplaçait dans ce paysage doré. Slike regardait les anges. Comparés à l’armée de Natalya, ces derniers ne faisaient point pitiés. Slike pensa même qu’ils étaient prêt à mourir rien que sous les ordres d’Oromë. Ils le respectait tellement. Son maître n’allait pas tarder, il ressentait déjà sa présence. Slike se déplaça toujours plus lentement vers les escaliers qui mène aux quartiers de l’archange de son maître…

L'Archange sourit... Comme il le pensait, beaucoup de puissance se concentraient dans cette humain.

"Ainsi soit-il."

L'Archange prit le casque sous le bras, posa sa main sur l'éapule d'Elendir et sourit.

Le monde se brouilla, ils quittèrent les limbes dans un rayon de lumière. Lorsque le monde redevint tangible... Ils étaient dans la salle du trône de la cité d'Anya.